Notre voisine Johanna
Datte: 09/08/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
voisins,
coiffure,
rasage,
... le mettre à sécher. Me voilà torse nu devant elle, craignant qu’elle n’ait vu mon érection. Je finis de lui rincer les cheveux. Elle se redresse en me remerciant. Elle me regarde et me sourit : — On dirait qu’il y en a un qui s’amuse bien, dit-elle en fixant mon érection. Je deviens très rouge et je lui avoue que lui laver les cheveux et lui masser le crâne m’ont effectivement excité, d’une manière que je n’aurais pas crue possible. Elle me répond que ça ne l’étonne pas. Je lui dis que maintenant, il faut faire la coloration. — D’accord, répond-elle, mais attention ! Je te surveille. Et elle boit quelques gorgées de vin. Je lui passe une vieille serviette autour du cou pour protéger le peignoir. Mes mains touchant à nouveau sa nuque me font frissonner. Je renonce à dissimuler la bosse dans mon pantalon et je commence la coloration. Malgré mon inexpérience, j’ai l’impression que tout se passe bien. Je prends le rythme, tournant autour de Johanna, qui me complimente sur ma technique, et tient des propos de plus en plus salés au fur et à mesure qu’elle sirote son vin blanc. Elle m’interroge carrément sur ma vie sexuelle avec Ellie, ajoutant que comme les murs ne sont pas très épais entre notre maison et la sienne, elle en connaît déjà un bout sur nous. Je me sens rougir, mais je réponds à ses questions. Par oui ou par non seulement, mais je réponds. Quand Johanna me demande à quelle heure rentrera Ellie, je réponds sans réfléchir qu’elle est de garde jusqu’à demain matin six ...
... heures. La teinture finie, je rince jusqu’à ce que l’eau soit bien claire. Je retire la serviette et le peignoir. Malgré tout, le chemisier est un peu mouillé. Johanna veut le retirer pour le mettre à sécher, et je dois l’aider. Elle porte un soutien-gorge blanc. Je lui demande si elle n’a pas froid, elle fait non de la tête, en buvant encore un peu de vin. Je commence à lui sécher les cheveux. Comme elle ferme les yeux, j’en profite pour lorgner ses seins et ses cuisses. Je m’enhardis et lui demande : — Est-ce que le col et les manchettes ont la même couleur ? Elle rouvre les yeux et me regarde d’un air interrogateur. — Je veux dire : est-ce que tes cheveux et ta chatte ont la même couleur ?— Tu veux savoir ? Eh bien, regarde ! Elle soulève le bassin. C’est une invitation claire à lui baisser sa jupe et sa culotte. Sa toison fournie révèle quelques poils gris. — Il y a deux solutions. Ou on colore les poils, ou on les rase. Qu’est-ce que tu en penses, Johanna ? Elle prend la bouteille de lotion et me la montre : vide ! Elle boit encore une gorgée de vin, et rit : — On dirait bien qu’il faut raser. Elle a l’air ravie quand je lui dis que je pense qu’elle sera bien mieux avec la chatte rasée, et très intéressée quand je lui révèle qu’Ellie a toujours la chatte toute lisse. — C’est toi qui lui rases la chatte ?— Oui, bien sûr.— Tu veux bien raser la mienne ?— Bien sûr, Johanna. Je retourne dans sa salle de bains chercher un rasoir. Je lui demande aussi une paire de ciseaux pour ...