1. Münchner Freiheit Partie 2


    Datte: 09/08/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Trois longs jours étaient passés, la tête d’ailleurs à moitié dans le cul, l’autre dans le guidon. Entre le manque quotidien de sommeil et le travail jusqu’à des heures impossibles, penser en devenait difficile. Néanmoins, cette blonde au parapluie —et surtout cette pipe inopinée— me hantait aux moments les plus inattendus. Plusieurs fois, je la reconnaissais dans la rue, jusqu’à ce que je rattrape… une autre blonde ! Inutile de vous dire que Munich en compte quelques-unes. Or ce soir-là, justement, mes pensées se perdaient sur son corps, sa bouche, sa poitrine superbe, tout en pédalant à travers la nuit pour rentrer prendre une bonne douche. Lorsque j’ouvre la porte, mes loueurs sont là. Quelques banalités rapidement échangées... avant qu’ ils me disent que quelqu’un a appelé il y a une petite heure, une jeune femme qui a laissé un numéro pour que je puisse la joindre. Sur un bout de papier, quelques chiffres alignés et un prénom : Elke. Miracle, magie ? Je n’y réfléchis pas vraiment, je compose le numéro, impatient de l’entendre. Elle a la soirée de libre et serait ravie d’aller boire un verre en ville, car elle ne désire pas me recevoir chez elle. Mon sang ne fait qu’un tour. Une rapide douche, je salue mes hôtes, descends en courant, hèle un taxi et lui donne l’adresse pour aller chercher ma blonde. À peine le premier rapport de vitesse enclenché, Elke se blottit contre moi pour m’étreindre de toute sa ravissante plastique. Ses seins fermes s’écrasent contre ma ...
    ... chemise, me révélant des tétons gorgés de désirs, sa main gauche enserre fermement mon paquet à travers mon jean et sa langue plonge à la rencontre de la mienne. — Je n’ai cessé de penser à toi. J’en suis toute excitée ! chuchote-t-elle entre deux baisers. Et moi donc ! Nos souffles s’accélèrent, nous nous embrassons à en perdre haleine. En quelques secondes, mon pantalon est ouvert et ma bite est déjà dans sa main, bandée à rompre. Munich est une ville lumineuse, jeune, dynamique, moderne. Notre taxi nous emporte vers le NachtCafé sans se poser trop de questions, ce n’est pas le premier flirt que son véhicule abrite ni le dernier vraisemblablement ! Les lèvres d’Elke ne s’en posent guère non plus, de questions, puisqu’elles vont et viennent dorénavant sur ma hampe turgescente comme si leur vie en dépendait, m’aspirant goulûment malgré la présence de cet homme à moins de 60 cm de sa tête. Elle n’a décidément pas froid aux yeux. Il ne doit pas falloir trop lui en promettre ni trop besoin de la forcer pour se mettre… en branle, cette entrée en matière le confirme. Notre taxi nous annonce l’arrivée imminente, manière pudique de nous demander de nous rassembler quelque peu. Je le paie et lui souhaite bonne nuit. Avec un large sourire, il me souhaite une très agréable soirée à son tour ! Devant nous, les marches du NachtCafé, immense bar de nuit de nuit ouvert jusqu’à 6 h 00 du matin. Le bruit des gens sur sa terrasse surélevée, la musique d’un de ces groupes qui joue ce soir, ambiance ...
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