1. (Vue sur internet) Mon épouse et ses collègues 2


    Datte: 09/08/2019, Catégories: Hardcore, Partouze / Groupe Inceste / Tabou

    ... l'attend.Plusieurs minutes plus tard, ce sont des bruits de sommier malmené qui parviennent jusqu'à nous. Ils s'installent sur le lit.- «Non! Comme ça, je préfère(c'est mon épouse).De nouveau le silence.- «Oui! Oui! Comme ça! C'est bon! Continue!(toujours mon épouse)- «Allez ma cochonne! Avale!(la voix de Jean-Luc).Maintenant nous entendons nettement le claquement d'un corps qui frappe brutalement ses fesses.Il est temps d'intervenir. Mon cœur s'affole. Aline est crispée sur mon bras. L'huissier nous chuchote alors:- «C'est le moment. Vous me laissez passer devant et intervenir. Surtout, pas de v******e, cela se retournerait contre vous. Allez, on y va!Sans bruit, il ouvre la porte et nous le suivons en file indienne vers la chambre. Il jette un coup d’œil discret par la porte, il se retourne et nous regarde en levant le pouce. Puis il bondit dans ce lieu de luxure en brandissant son appareil photos. Les flashs crépitent: 1, 2, 3 et 4 photos.Nous avons suivi et restons scotchés à l'entrée de la chambre.Gérard, qui n'a pu résister à l'appel du sexe, est allongé sur le dos, mon épouse est couchée et s'est emmanchée sur lui, vêtue d'une guêpière noire grande ouverte sur ses seins dénudés, jarretelles noires et bas noirs, bottes noires. Cet ensemble noir fait ressortir encore plus le blanc laiteux de la chair. Elle est d'une obscénité totale. Derrière elle, nous avons Guy qui l'encule. C'est lui qui provoque ces bruits lorsqu'il se propulse en avant, enfonçant sa queue loin dans ...
    ... les entrailles de la femme infidèle qui, symétriquement, reçoit dans la bouche le chibre bandé à l’extrême de Jean-Luc enfoncé jusqu'aux couilles. Sur la droite du lit, debout, se trouve Denis. Ma femme, d'une main, le masturbe consciencieusement. De l'autre côté, le cinquième individu que je ne connais pas, est allongé, nu comme les autres. Il entretient son érection par une lente masturbation. Il attend qu'un orifice se libère pour, à son tour, profiter de ce corps si ouvert.Je me demande quel numéro porte ce tableau dans leur nomenclature érotique. Nomenclature qu'ils allaient très rapidement classer définitivement dans leurs archives et pour un bout de temps.La première photo les a surpris en pleine action. Personne n'a bronché.La seconde les prend le visage tourné vers l'objectif, les yeux ouverts comme des soucoupes, totalement paralysés, n'ayant pas encore réellement réalisé ce qui se passait.A la troisième, les corps se déboitent. Mon épouse, jusqu'à maintenant certainement trop absorbée par le plaisir naissant, se rend subitement compte qu'il se passe quelque chose et tourne seulement la tête vers nous.Sur la quatrième, enfin, prise lorsque mon épouse pousse un cri d'effroi, chacun essaie tant bien que mal de cacher ses parties intimes, sauf mon épouse qui reste littéralement statufiée, hébétée, le regard fixé sur moi, le sexe de Gérard, toujours bandé, à peine déboité de sa vulve dégoulinante. Elle doit se demander dans quel cauchemar elle se trouve plongé.Soudain, ...
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