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Natasha & Franck (8)
Datte: 10/08/2019, Catégories: Transexuels
Je me réveillais lentement, me frottais les yeux puis tout le visage de la paume de mes deux mains. Je m’étirais de la tête aux pieds. Je baillais, me demandant si j’avais bien terminé ma nuit. Je me tournais sur le coté. Natasha était déjà réveillée et me regardait de ces grands yeux bleus bordés de reconnaissance : « Bonjour mon mec ! Murmura-t-elle. -Bonjour ma belle ! » Elle posa sa main sur ma joue qu’elle caressait de son pouce. Elle m’embrassait. Je sentais son autre main autour de ma verge. Elle souhaitait profiter de la gaule matinale. Elle s’enduisait la rondelle de salive et je la pénétrais délicatement. Je la prenais en missionnaire, lui léchant les seins, aspirant les mamelons. Puis je la soulevais et passais ses jambes sur mes épaules. Elle aussi avait la gaule matinale, à moins que ce ne fût l’excitation. Je la masturbais. Avant qu’elle n’éjacule, je plaçais deux doigts entre ses lèvres pour qu’elle garde la bouche ouverte. Ses jets crémeux fusaient directement dans sa bouche. Elle récoltait les quelques gouttes qui atterrissaient sur son visage avec ses doigts qu’elle suçait espièglement. J’éjaculais à mon tour. Nous nous dirigions vers la douche, sans faire de bruit. Nous n’étions pas certains que Kristina et Alexandra soient réveillées. Elles étaient en fait déjà sorties pour acheter du pain et des croissants. Elles arrivaient juste à l’instant où nous allions entrer dans la salle d’eau. Elles nous acclamèrent et nous avions droits à une salve ...
... d’applaudissements. « Depuis que je la connais, c’est la première fois que je l’entends jouir aussi bruyamment. Félicitations Franck ! Ironisa Kristina. -Allez vous faire un brin de toilette pendant que nous préparons le café, on ne veut pas profiter des effluves de vos ébats ! Ajouta Alexandra. » Natasha rougissait et me poussait dans la pièce afin d’échapper aux commentaires des deux complices. Elle souriait. Comme une enfant qui aurait fait une bêtise mais à qui on offrirait quand même un cadeau parce que sa bêtise était très réussie. Elle souriait, comme une femme heureuse. Tout simplement. Elle se collait contre moi sous la douche. Je la savonnais, l’embrassais, sur tout le corps. Elle s’accrochait à mon cou. Je la soulevais, elle serrait ses jambes autour de ma taille. Je me retrouvais très vite planté en elle. Nous prenions le petit-déjeuner sur la terrasse, nous pouvions encore trainer un peu. Nous n’avions que deux heures de route pour arriver à destination pour notre deuxième concert. Avant de partir pour Clermont-Ferrand, la seule chose qui nous restait à faire était d’emmener les chiens de Natasha chez un ami qui pourrait les garder jusqu’à notre retour. Je souhaitais également passer au bureau pour voir Karen. Elle n’était pas venue au concert à Lyon et je tenais à lui dire au revoir. Nous étions encore entrain de savourer les viennoiseries quand mon téléphone sonnait. Sabine appelait, catastrophée. Dimitri, son stagiaire avait effacé par inadvertance l’enregistrement du ...