Les machinations de Laure (4)
Datte: 10/08/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... demanda Laure à Malo quand nous fûmes remis de nos émotions. Nous ne serons jamais les femmes d’un seul homme. Ni Hello, ni ta sœur, ni moi, encore moins. Et nous ne voulons pas que nos mecs soient seulement nos mecs à nous. Nous voulons les partager. Entre nous, déjà, et puis, pas que. Malo, vaincu, toujours ligoté, hochait la tête. — Et d’ailleurs, à ce sujet, précisa Laure, j’ai une idée. Ecoutez bien. Quand Laure eut fini son exposé, nous opinâmes du chef. Malo émit plusieurs réserves. Laure lui répondit avec un sourire carnassier : — Mon chéri, tu n’es vraiment pas en mesure de me refuser quoi que ce soit. Tous ces événements s’échelonnèrent en quelques semaines à peine, voici dix mois à peine. Quand je compare la vie que nous menions alors à celle que nous menons aujourd’hui... Dès le lendemain de notre soirée à six, nous commençâmes à chercher notre nouvelle résidence, recherche facilitée par mes contacts dans le monde de l’immobilier. Après bien des atermoiements et des discussions entre nous six, nous portâmes notre choix sur un manoir cossu, mais discret, niché au fond du Berry. L’acquisition nous demandait quelques fonds. Les travaux que nous envisagions en demandaient plus. Nous payâmes tout ce qu’il fallait, au comptant : à ce moment, Alain avait liquidé son activité. J’étais moi-même sur le point de vendre mon agence à un ancien employé. Malo gérait déjà son patrimoine financier par holdings interposées. Nous emménageâmes en mai. Début juin, nous conclûmes au ...
... même moment la pendaison de crémaillère et nos PACS respectifs : Laure avec Malo, Salomé avec Alain, et Hello avec moi. Nous célébrâmes l’événement par une orgie d’une rare intensité, à laquelle nous avions convié une dizaine de copains, et autant de copines. Nous y étrennâmes notre installation du sous-sol : une vaste salle décorée avec un goût maniaque autour du plus vaste jacuzzi que nous avions pu dénicher. L’endroit, chauffé, abondamment meublé, comprenait un large éventail de sex-toys et toute une batterie de caméras qui immortalisaient tous les événements, à commencer par la fête inaugurale. Des micros dissimulés partout dans le plafond ne perdaient pas le moindre souffle. Une des parois dissimulait, derrière une vitre sans tain, tout un matériel dernier cri de montage de films. Il n’était pas question pour nous de commercialiser ces productions, encore moins d’en vivre : les revenus de nos avoirs suffisaient à nos besoins ordinaires ainsi qu’à nos dépenses exceptionnelles. Nous nous contentions de publier nos films auprès de nos amis, ainsi qu’aux personnels de nettoyage que nous avions spécialement embauchés pour l’occasion. Ils faisaient partie d’une domesticité composée d’une dizaine de préposés, intendant, cuisinier, jardinier, gardien, valets et soubrettes. Leur zèle s’entretenait par leurs appétits, et leur efficacité se rémunérait par des participations plus ou moins fréquentes à nos menues orgies. Il suffit enfin, pour combler notre bonheur, d’organiser un ...