rencontre avec mon maitre et merci maitre
Datte: 11/08/2019,
Catégories:
Anal
BDSM / Fétichisme
... fesses avec ses joues. Insensiblement, je commençai de m'ouvrir, envahi de picotements plus délicieux les uns que les autres. Et je ne pus m'empêcher de gémir, surpris par l'étrangeté, la nouveauté d'une telle jouissance.mon maitre finit par lever le nez de mon cul, puis me dit :- Putain, quelle bonne chatte de femelle ! Je te dilate à peine les trous, tu couines déjà comme une chienne ! "Il me donna deux claques, une sur chaque fesse, bien appuyées, bien sonores, puis m'étendit sur le dos. Il me recouvrit alors de tout son corps, puissant, lourd, et planta ses yeux dans les miens. Subjugué, je finis par baisser le regard. Attendri, mon Maître me dit :- , je veux ton bonheur, tu le sais. Je ne suis pas cruel. Mais j'ai besoin d'une pute pour mon équilibre. Une pute hyper docile et gentille, mais une pute dans l'âme. Je te protègerai, tu verras, je t'aimerai, mais je ferai de toi ma pute maritale, ma chienne perso. Je te ferai découvrir ce que tu es vraiment, je te cajolerai, je te bourrerai la chatte !… Une rencontre comme la nôtre, bébé, ça tient du miracle… Tu en as conscience ? Tu veux aller plus loin ? Vraiment ? "- Oui. " répondis-je en un souffle.il me sourit de toutes ses dents, un sourire ensorcelant, et m'embrassa tendrement, langoureusement. Puis, il cracha dans ma bouche, et me dit :- Prends, salope, bouffe la salive de ton mec ! "J'avalai sa salive, tiède, un peu salée. me serra dans ses bras, de telle sorte que je me sentis minuscule, à la merci d'un géant. Sa ...
... tête dépassait la mienne, son torse, son bassin, ses jambes m'écrasaient, ses pieds dépassaient les miens. J'étais heureuse, je faillis pleurer.J'eus la sensation, vertigineuse, d'être enfin à ma place, de me trouver à l'endroit précis qui me correspondait, d'y être avec l'homme de ma vie ! Ca semblait fou !coller contre lui il me doigta ,mmm sentir son odeur, Je crus que j'allais jouir.Mon Maître,A trente centimètres de mon visage, sa braguette boursouflée se mit à m'obséder. Il la déboutonna, libérant une odeur . La plus savoureuse odeur du monde. Le parfum de sa bite.- Pas touche ! dit-il. Profite, admire !"Comme par magie, sa bite surgit du jean. Elle me stupéfia. Sa largeur, extraordinaire, me fit peur tout en m'alléchant. J'eus l'impression de me trouver face à un bloc de puissance qui me faisait défaut. Je pris conscience de ma faiblesse, et du vide en moi, de ce d'Homme qu'il me fallait combler.Je sus dans l'instant que cette queue, ce morceau de chair énorme, impérieux, veiné, deviendrait le centre de mon existence, et que je ne pourrais plus vivre sans le vouloir en moi, sans être rempli, de toutes les façons possibles, par lui !Je déglutis.alors elle te plait dit ilTrop ému, trop excité pour pouvoir répondre,Mon Maître, sourire en coin, avança le bassin, puis frappa mon visage avec sa queue. D'abord avec tendresse puis avec sauvagerie. C'était comme s'il me baptisait, comme s'il me gratifiait de sa bénédiction. J'étais au paradis, totalement soumisse, totalement ...