1. L'histoire de Marie Christine (4)


    Datte: 11/08/2019, Catégories: Erotique,

    A la ville, je suis cadre intermédiaire dans une entreprise de santé, mais dans le privé je suis soumise. Je suis même officiellement soumise certifiée de deuxième catégorie. Je porte le matricule S 666, tatoué sur mon pubis et mon sein gauche. Je suis brune, cheveux courts au carré. Je viens d’avoir 58 ans. Mes mensurations sont 110, 60, 85. Je faisais un bon 95 avant que mon maître m’offre mes nouveaux seins Je mesure 1,65m et je pèse tout juste 50 kilos. J’entretiens mon physique plus que jamais car mon maître souhaite que j’accède au Graal des soumises, la certification de troisième catégorie. Très peu de soumises ont eu cette joie et cet honneur, en fait seulement quatre à aujourd’hui. De plus, le règlement vient de changer. Le jury vient de le communiquer à mon maître qui le compulse nerveusement. Il ne faut plus simplement satisfaire à quelques épreuves, il s’agit quasiment d’un concours où seules les deux ou trois premières seront éventuellement primées. En amont, il faut déjà présenter un dossier libre, libre au sens où c’est au maître de définir une épreuve spéciale pour sa soumise, çà choisir dans une des thématiques générales du concours. Il faut être inventif, novateur. Ce sont les termes du jury. Ce dossier sera retenu ou non par le jury. S’il l’est, la soumise et son maître seront convoqués pour le jugement final qui aura lieu dans quelques mois. Il s’agira d’un concours collectif, sur trois jours, au cours duquel toutes les soumises sélectionnées seront ...
    ... rassemblées. Elles devront passer différentes épreuves d’abord de beauté, puis de travail. Il y aura une première élimination à l’issue du concours de beauté. Mon maître a fini sa lecture. Il me regarde, me jauge et déclare : - Pour le concours de beauté, ça devrait passer, même si le jury reste assez flou sur les critères qu’il a retenus. Après nous verrons bien. Mais nous n’en sommes pas là. Auparavant, il faut que ton dossier soit accepté. Il n’y a donc pas de temps à perdre. Il ne restait plus que l’épreuve libre à réaliser. Parmi les thématiques générales du concours, mon maître choisit la catégorie «Exhibition ». Il trouve que c’est là que je me débrouille le mieux. C’est vrai que j’adore me montrer et il trouve toujours quelque chose d’inédit ou de savoureux à me faire exécuter. . Mon maître m’annonce que nous allons passer la semaine de Noël au Sénégal. Je suis ravie car j’ai besoin de me ressourcer et le soleil me fera le plus grand bien. Mon maître me précise que c’est également au cours de ce voyage que je devrais accomplir l’épreuve décisive pour ma qualification au concours final. Nous débarquons à Dakar le 20 décembre. Le temps est fort clément. Mon maître ne perd pas de temps. A peine installés à l’hôtel, il se met en quête d’un guide connaissant le nord du pays et d’une voiture. Le lendemain à la première heure, notre guide, Abdou, vient nous chercher pour nous conduire à Kamel, petit village du nord, proche de la frontière mauritanienne. Il était grand et costaud, ...
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