1. Mail érotique


    Datte: 11/08/2019, Catégories: fh, hotel, Oral pénétratio, tutu, internet,

    Hello ! Pourquoi tant de précipitation ? Mais bon… Puisque tu le veux, je vais te décrire notre première fois… On s’est donné rendez-vous dans un petit café pour faire connaissance. Nous discutons un peu, mais tu es taquine, comme tu le dis si bien. Je sens ton pied le long de ma jambe… Il remonte, caresse ma cuisse. Tu es si désirable, les joues empourprées par la luxure… Tu as un sourire coquin, quand ton pied commence à masser mon entrejambe… Ce que je cache dans mon pantalon… Tu m’as convaincu. Nous nous levons, il y a un hôtel juste en face, je te soupçonne d’avoir choisi ce café exprès… Mais je m’en fiche. Dans l’ascenseur tu te lances sur moi, tu m’enlaces et approches tes lèvres des miennes, je sens ton parfum, délicieux, enivrant. Je te prends par la taille, je t’attire à moi : comment te résister ? L’ascenseur ralentit, tu t’écartes de moi, poses ta main sur ma poitrine, puis tu la fais descendre le long de mon ventre jusqu’à mon entrejambe : tu as de la suite dans les idées. Les portes s’ouvrent, nous ne sommes pas au bon étage. Un homme entre dans la cabine. Il monte aussi, il nous interrompt surtout. Il est juste devant les portes, il nous tourne le dos. J’en profite : tu m’as rendu fou, assume ! Je t’enlace par derrière, j’embrasse ton cou, je mordille tes oreilles, je caresse tes seins à travers le tissu de tes vêtements… Audacieuse, tu plaques tes fesses sur mon bas-ventre, j’étouffe un gémissement. Soit l’étranger n’a rien remarqué, soit il fait semblant de ...
    ... ne pas nous entendre. La cabine arrête enfin sa course. Il sort en nous souhaitant une bonne journée. Nous lui répondons de même en riant. Nous arrivons à la porte de notre chambre, tu mets la clef dans la serrure et tu te tournes vers moi. Tu me saisis par le col, tes lèvres entrent en contact avec les miennes, ta langue caresse la mienne. Tu embrasses si bien. Je tâte la porte à la recherche de la clef, pendant ce baiser. J’ouvre, nous entrons, je referme derrière moi. Je retire mon sweat et mon T-Shirt, je suis torse-nu et tu as l’air d’aimer ce que tu vois. Je m’approche et je te plaque contre un mur : il n’est plus question de jouer à présent. Tu ris : tes mains me caressent la poitrine, elles descendent, s’aventurent toujours plus bas. Je t’embrasse, à nouveau nos langues dansent ensemble. Mes mains passent sous tes vêtements, je sens le tissu de ton soutien-gorge, je caresse tes seins, généreux, lourds, aux mamelons durs et gonflés de désir… Je t’enlève le haut, je vois ton soutien-gorge, il met ta poitrine en valeur : tu as l’art de choisir ce qui te va le mieux, ce qui va rendre fou les hommes autour de toi… Ta jambe s’enroule autour de ma cuisse. Tu m’embrasses à nouveau, puis tu me repousses. Tu t’écartes, et en quelques pas, de ta démarche de diva qui ne doit rien à personne, tu te places devant le lit. Tu enlèves ta jupe, puis ce petit string de dentelles qui épouse tes formes… — Tes bas… Garde-les ! M’entends-je dire à haute voix. Tu ris, t’assois sur le lit, et ...
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