1. Retour de l'internat (5)


    Datte: 12/08/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    Je me doute que cette première scène n’était qu’un échauffement… J’ajuste ma tenue, passe un doigt sur mes lèvres et mon menton pour m’assurer de n’y avoir rien laissé. Nous reprenons nos divagations au gré des caves, mais plus serrés les uns aux autres qu’auparavant. Nous sommes désormais trois amants, et non deux maîtresses avec leur instructeur. Nous sommes aussi chauds comme la braise, le désir à son apogée. Je prends mon temps, me permets de regarder les groupes en pleine action, d’apprécier leurs performances, leur plaisir, leur niveau de perversité. Je me projette, m’imaginant à la place de telle ou telle femme, et même des hommes, allant jusqu’à envisager de mettre un gode-ceinture. Mon esprit s’emballe : tant de possibilités ! Il faut bien que je me donne des limites, ne serait-ce que pour parvenir à choisir. Pour cette fois, j’écarte ceux qui s’approchent trop du sado-maso ou s’accessoirisent à outrance. Je rejette aussi les groupes où une seule femme est présente, car il n’est pas question que Cassandra ne fasse pas partie du voyage. Je limite enfin mon choix aux groupes à trois participants, et trouve mon bonheur : deux femmes s’embrassent tendrement, l’une d’entre elles serrée de près par un homme séduisant, collé à son dos. Je saisis Cassandra par la main et l’entraine à l’abri d’une colonne, avec un double avantage : bénéficier de la dite-colonne, qui peut éventuellement jouer un rôle dans la scène, et profiter de son ombre relative. Je plaque Cassandra contre ...
    ... la pierre et m’empare immédiatement de sa bouche, dans un délicieux méli-mélo de langues. Peter comprend le message et se colle à mon dos. Je sens battre fort le cœur de Cassandra dans sa poitrine, ressens son désir pour moi, son impatience d’en découdre. Je frissonne de plaisir alors que les mains de Peter s’aventurent sur la peau satinée de mon dos, remontent jusqu’à mes épaules, pour redescendre sur mes flancs et ma taille. Son souffle chaud et humide ravage ma nuque, me mettant dans un état d’excitation folle. Cassandra n’est pas en reste, caressant du bout des doigts mes cuisses, se glissant sous ma jupe moulante à la découverte de mes fesses. Ce ballet à quatre mains est délicieux, mais presque douloureux tant il est lent. J’en veux plus, beaucoup plus, et plus vite, mais je dois m’adapter à la vitesse du trio qui nous sert d’exemple. Je prends plaisir à imaginer la suite, comment je vais faire jouir Cassandra, comment Peter va me prendre, ou prendre Cassandra, ou nous-deux à la fois. Si quelqu’un d’autre va se joindre à nous… Je le redoute, et en même temps le désire, comme si c’était l’accomplissement de notre orgie, la récompense d’un spectacle plus qu’excitant. A l’image de son modèle, Cassandra s’affaisse sur ses talons, le long de la colonne, arrêtant son visage à la hauteur de mon intimité. Très lentement, tout en me dévisageant, elle retrousse ma jupe, dévoilant la peau nue de mes cuisses, puis mon entrejambe ruisselant, mon sexe frémissant et enfin mes fesses ...
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