1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (38) : notre Pacte candauliste.


    Datte: 13/08/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    A la reprise de notre vie commune, Philippe et moi avons passé un « nouveau pacte candauliste » car il ne pouvait être question, ni pour moi, ni pour lui, que nous devenions un couple « ordinaire ». C’est de certains épisodes marquants de ce nouveau pacte candauliste dont je vais parler dans les prochains textes. UN NOUVEAU PACTE CANDAULISTE Nous avions donc repris, Philippe et moi, notre vie commune. Nous n’avions renoncé à rien, pas plus lui à son candaulisme que moi à mon hypersexualité. Nous étions seulement fermement résolus à maîtriser nos fantasmes et à respecter certaines règles et ne plus retomber dans les dérives du passé, du temps où nous étions sous la coupe de Rachid. Nous devions d’abord adopter un comportement plus prudent pour protéger notre famille, parce que nous étions devenus parents de trois enfants, trois magnifiques petites filles : Lucie, née en 2009, Leila, née en 2011 (dont le père est Hassan, qui assume parfaitement ses responsabilités) et notre dernière, Sofia, que j’avais eu le bonheur d’offrir à Philippe fin 2013. Un quatrième enfant, un fils, Alexandre, est récemment venu agrandir notre famille. Notre réputation étant complétement ruinée dans la ville où nous avions vécu jusque-là, nous avons changé de région, choisissant une grande agglomération où il est plus facile d’être anonymes, y compris dans la fréquentation des milieux libertins. C’est aussi l’époque où nous avons fermé définitivement le blog hébergé sur Erog, où nous nous étions ...
    ... beaucoup trop exposés. Enfin Philippe avait également changé de travail et repris le déroulement de carrière que nos frasques avaient gravement compromis. Il n’était pas question pour nous, je l’ai dit, de brider notre nature. Malgré la métamorphose de Philippe, qui était devenu un amant honorable, ce qui avait contribué à ma «reconquête» au détriment d’Hassan, Philippe savait que je ne pouvais me contenter de lui. Et par ailleurs, lui non plus ne renonçait pas à son candaulisme. Il savait que j’étais la femme qu’il lui fallait pour pouvoir assumer pleinement son fantasme. En plus de la discrétion, nous étions convenus de ne rien nous cacher, mais d’éviter tout ce qui pourrait menacer la pérennité de notre couple, comme des liaisons durables. D’ailleurs, quand nous avons, par la suite, violé cette règle (voir récit n°17), lors de vacances avec N., puis Philippe avec Théodora, notre couple a connu sa crise la plus grave depuis notre remariage, et il reste fragilisé, même si nous avons trouvé un compromis. Il était entendu que c’était désormais Philippe qui était l’organisateur de mes plaisirs et choisissait mes amants, les lieux, les circonstances où je pourrai donner libre cours à mon hypersexualité. Cela supposait qu’il puisse assister et, souvent, participer activement. J’avais de toute façon toujours eu plus de plaisir en sa présence que sans, parce que je ressens son immense bonheur quand il me voit jouir. Les regards que nous échangeons, les baisers, les caresses, la main ...
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