1. Les amis de Jean-Claude (2)


    Datte: 13/08/2019, Catégories: Gay

    Jean-Claude (79 ans), Philippe (45 ans) et moi-même (62 ans). Jean-Claude a organisé notre rencontre pour nous voir nous aimer sous ses yeux. Philippe est comme moi, il aime les hommes, mais est surtout actif. Il suce, pas à fonds, et ne se fait pas mettre. Par contre il se fait pomper jusqu’au bout, et défonce tous les culs qui s’offrent à lui. Il a envie de connaître l’autre côté de la barrière, et je me laisse moi aussi tenter par l’expérience. On va s’offrir l’un à l’autre, comme des soumis, ou plutôt des soumises puisque l’on s’est travesti en femme. On s’est vite retrouvé en petite tenue, et on s’est déjà fait une première pipe, chacun son tour, on s’est vidé les couilles et bouffé notre foutre . Une petite pause, on se retrouve à la chambre, onbande à nouveau. Philippe est comme moi, perruque, rouge à lèvres que l’on a refait, bas et jarretelles; le reste du vestiaire, dont nos petites culottes, est tombé depuis longtemps. Jean-Claude est à poil, un gode dans le cul, et tripote toujours son oiseau tout mou. Mon jeune partenaire est très motivé, et souhaite continuer avant de changer d’avis. Il s’installe à quatre pattes sur le lit et me demande de le baiser. Je vais me le faire, mais avant je vais préparer son petit trou de pucelle; plus exactement, c’est Jean-Claude qui va s’en occuper. C’est une grosse cochonne notre vieux, et il raffole de bouffer des culs. Il va donc le doigter, le fouiller, le lécher, lui fourrer sa grosse langue musclée, rompue à cet exercice. ...
    ... Durant ce préliminaire, je m’installe sur le lit pour me faire sucer par ma future monture. Il pompe bien ce salaud, c’est sûr qu’il doit en avoir au compteur pour être aussi doué. Je me tiens une trique d’enfer, et Jean-Claude, en tant qu’enculé expert, me dit que le fion de Philippe est prêt pour me recevoir. On se met debout, devant le vieux, à deux pas de lui, face à face. Il mâte mon sexe dressé, avec envie et inquiétude. Il fait demi-tour, me tourne le dos, se penche en avant, écarte ses fesses, et tend son cul. Il est prêt à se faire saillir, et attend mon pieu. Je plaque mon large gland sur sa rondelle, et le saisis fermement par les hanches, pour ne pas qu’il m’échappe lorsque je vais pousser. C’est ce que je fais, lentement mais surement, jusqu’à être tout en lui. Il a mal, a l’impression que je le déchire. Il ouvre la gueule, mais aucun son ne sort, il s’efforce de ne pas crier. Je fais une pause et lui demande si ça va. Il ment en me disant oui, et m’invite à continuer. Je suis en mouvement, et vais et viens dans son trou innocent. Il souffre, mais il sait par expérience de ceux qu’il s’est farcis, notre hôte le premier, qu’il faut en passer par là pour atteindre le plaisir, la jouissance, l’extase, la plénitude. Alors il serre les dents et continue à s’offrir. Peu à peu la douleur s’atténue, pour laisser place à de nouvelles sensations inconnues. Il faut dire que son cul fait de l’huile, et que ma colonne coulisse sans effort. Il prend du plaisir, beaucoup de ...
«123»