Il est des jours où Cupidon s'en fout
Datte: 13/08/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
cérébral,
intermast,
préservati,
nostalgie,
regrets,
... d’été et pris Florence dans mes bras avant de poser ma bouche sur la sienne. Nous tentions à tour de rôle de prendre l’avantage sur la bouche de l’autre. Je prenais plaisir à aspirer sa lèvre supérieure, elle contre-attaquait en tirant sur ma lèvre inférieure. Entre ces escarmouches de polichinelle, ma langue passait entre ses dents et nos bouches s’unissaient à nouveau tendrement. Ma main avait glissé sous sa culotte en descendant son dos et je la passai sur le haut de ses fesses, en savourant leur rondeur et le sillon qui les séparait. Elle posa alors sa main sur mon sexe au travers du caleçon, descendit la paume de sa main le long de ma hampe dressée et me dit en souriant entre deux baisers : — Coquin. Elle était presque nue contre moi, même si la couette ne me permettait pas de la voir. — Éteins la lumière, me demanda-t-elle. Je me retournai avec difficulté, car la lampe était dans mon dos, et je ne savais pas où était l’interrupteur. Je partis du pied de la lampe et en le suivant de la main, j’arrivai au bouton. Nous nous retrouvâmes dans une obscurité imparfaite, car le store du velux n’était pas descendu et un peu de la lueur des lampadaires de la rue éclairait le haut de la mezzanine. ---000--- Nous nous embrassâmes. J’avais envie – besoin – de satisfaire mes sens après ce qui m’avait semblé une éternité de préliminaires (en fait probablement pas plus de quelques minutes à bien y réfléchir) mais en même temps je sentais qu’il fallait prolonger encore, je ne ...
... voulais pas terminer une telle étreinte par un coup de lapin – je ne voulais pas d’une pénétration qui ne lui laisserait pas le temps. Mais voilà. À moins de tout arrêter, jouir une première fois et ensuite seulement de prendre le temps, je ne voyais pas moyen de garantir ma performance. Florence ne me laissa pas trop le temps de philosopher sur le tantrisme et le tao de l’amour. Elle m’embrassa vigoureusement, mais sous la couette elle fit glisser sa culotte en pliant ses jambes et quand elle décolla sa bouche de la mienne, ce fut pour me supplier : — Viens sur moi maintenant. Je n’en pouvais plus, je fis glisser mon caleçon jusqu’à mes mollets et je m’aidai de mes pieds pour l’enlever tout à fait. Le moment idéal, n’est-ce-pas d’avoir non seulement à mettre un préservatif mais en plus de devoir le sortir du paquet en carton, lui-même emballé dans un film dont l’ouverture n’est pas évidente dans la demi obscurité ? Florence se déplaça dans le lit, se mit un peu plus vers le centre et ouvrit un peu les cuisses. Je ne le vis pas car elle était recouverte de la couette, mais je sentais ses mouvements en dessous. J’avais commencé par m’asseoir sur mes talons, mais quand Florence commença de sa main droite à chercher mon membre, je me mis à genoux pour lui rendre la tâche plus facile tellement j’avais envie de sentir sa main sur moi. Elle prit ma verge dans sa main, toucha mon gland tout humide d’excitation, fit un ou deux mouvements du poignet, et termina de le dénuder. Dérouler un ...