1. En Tunisie (1)


    Datte: 14/08/2019, Catégories: Gay

    ... s’allonger le père à plat ventre sur le lit, et me plaçai au-dessus de lui. Le père crût que j’allais le baiser, et, en remerciements de mes services, acceptait volontiers. Mais je m’étais placé trop haut pour cela. Et le fils voyait le cul de son père à travers mes jambes écartées. Il avança, timidement puis se décida et commença à limer le cul de son père. Le père réalisa brutalement ce qui se passait. Je m’appesantis sur lui, pour l’empêcher de bouger. Et, passant une main, sous lui, je sentis qu’il avait une superbe érection à l’idée d’être enculé par son fils. L’idée avait dû lui trotter dans la tête, mais il n’était jamais passé à l’action. Je quittai la chambre, certains que ces deux-là allaient recommencer, le fils baisant le père. Et il pourrait bien lui venir à l’esprit de faire baiser son père par des tunisiens, devant lui. Une après-midi, je décidai d’aller me promener en voiture, et sortit de la ville, par une petite route, que je ne connaissais pas. J’avais mal fait mon choix. Bientôt une colline d’ordures longeait le bord de la route. La décharge municipale ! Au sommet de laquelle des hommes, penchés en avant, faisaient de la récupération. Je décidai de m’arrêter car ils tournaient la plupart le dos à la route. L’un d’eux retint mon attention. Il avait une quarantaine d’années, et il portait un short si large, sans slip dessous, que quand il se penchait, jambes écartées, on voyait très bien sa bite pendouiller et ses couilles balloter. Je restai à me ...
    ... branler dans la voiture devant ce joli spectacle. Quand il se retourna, je lui fis un signe de la tête. Il me fit un sourire, descendit et se dirigea vers un bosquet. Quand je l’y retrouvai, il était, froc aux chevilles, penché en avant, s’appuyant au tronc d’un arbre, le cul bien tourné vers moi. Un doigt mouillé me convainquit que c’était un « habitué », et contrairement aux précautions que je prenais avec mes élèves, je le baisai bien à fond, ce qu’il sembla apprécier. En repartant, nous croisâmes un tunisien d’un certain âge, qui entrainait un jeune vers le bosquet, en lui passant la main au cul. Et je compris pourquoi ils tournaient tous le dos à la route, en hauteur sur leur colline. En faisant ainsi, ils exhibaient leurs parties intimes aux tunisiens qui passaient en voiture, s’arrêtaient et pouvaient faire leur choix en toute connaissance de cause, avant de les entraîner dans le bosquet. En repartant, je fus doublé par un flic à moto, qui m’intima l’ordre de m’arrêter. Je préparais mes papiers. Il me fit un signe négatif de la main « Je suis le beau-frère de votre voisin. Je sais que vous vous laissez enculer par lui. J’aimerais bien en faire autant. Si vous refusez, j’en parlerai à sa femme » Je souris intérieurement de la menace, car le flic était bandant, et j’étais décidé à lui donner satisfaction. Je descendis donc de ma voiture, me penchai sur le capot, baissai mon froc et offrit mon cul. Il me baisa lentement et longuement, le long de la route, tant et si bien que ...
«12...5678»