1. Dame Erika (10)


    Datte: 14/08/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    Chapitre 10 : Le dîner-spectacle – 3ème et dernière partie ÉLISE Toujours la queue en bouche, je me redresse, cambrée sur mes jambes, le cul bien en arrière. J’ouvre mes fesses pour bien leur montrer mon trou du cul et ma moule : il faut qu’ils mouillent tous, les mecs comme les nanas ! Tina fait pareil. En plus, elle commence à se tripoter les seins, gémit ; je l’imite. Puis elle se branle le clito ; moi aussi. C’est bouillant, je ne vois plus le public ; je suis en train de m’abandonner à ce plaisir que jusque là nous nous étions interdit, Tina et moi. « Qu’est-ce qu’on a été connes de ne pas faire ça plus tôt ! » me dis-je. Je lâche la queue de Pat, lève les yeux vers lui, remonte, lui lèche les tétons au passage, le regarde dans les yeux ; tout au fond, je vois comme une étincelle. Je suis troublée. Je regarde Tina : elle aussi m’a l’air d’être troublée. Oups ! Je me reprends, il faut finir ce spectacle. Je me suis juré qu’on va les faire éjaculer dans leur culotte, ces guerriers. Je reprends mes caresses sur Pat. Son torse est doux, il n’a pas de poils ; ses pecs, un délice… Je mouille. Un sursaut : ses mains viennent de se poser sur mes fesses, et il me les caresse avec douceur ; je gémis de bonheur. Ses mains courent dans mon dos, font des cercles de mes fesses à mes épaules. Il est doux ; je frissonne, je m’abandonne. Les yeux clos, je miaule doucement. « Plus fort ! Il faut qu’ils entendent mon bonheur, qu’ils le partagent, que je leur donne envie ! » Tina ? Elle ...
    ... aussi miaule. Du coup, on se fait un concours, à qui miaulera le plus fort. Les mains de Pat remontent jusqu’à ma nuque ; il me presse tout contre lui. Mes tétons durs et pointus jouent avec les siens, mon ventre me brûle, me pique ; enfin, je ne sais plus. Je ferme les yeux, je ne veux pas voir, voir Tina, le voir lui. Je sens son souffle sur mes lèvres, puis le contact doux et humide des siennes. Je commence à trembler ; j’ai peur. J’enroule mes bras autour de son cou. Ses mains me pressent encore plus fort, une sur ma nuque, l’autre au creux de mes reins. Il est fort ; il écrase son sexe bandé à son maximum contre mon ventre. À présent je sens sa langue ; elle force l’ouverture de ma bouche. Je résiste, je ne veux pas, et Tina… Pardon, Tina ! Je cède. Sa langue puissante s’engouffre dans ma bouche ; elle est chaude, humide. Elle a encore le goût de ce doux vin, le claret, avec ses saveurs de miel et d’épices. Sa langue me fouille, cherche la mienne sans trop de mal car moi aussi je suis venue la chercher. Tout à coup j’ai envie de fuir, de m’enfuir avec lui, finir ça ailleurs, loin de ces gens qui sont en train de nous mater, de me mater mon cul. Malheureusement, je ne peux pas m’enfuir : il m’enlace fort, très fort ; et ce baiser passionné, goulu… On se dévore mutuellement. Et mon ventre qui cri famine… Je n’ai plus le choix : il faut y aller. Je vais leur montrer, à ces gueux, comment on baise au XXIe siècle ! Je m’accroche à son cou, me hisse, encercle sa taille de mes ...
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