Clothilde (1)
Datte: 14/08/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Il y a 10 années, je vivais dans le sud de la France, chez ma grand-mère. J’avais à peine plus de 18 ans lorsque je fis la connaissance de ma voisine, une rousse aux yeux verts, si mes souvenirs sont justes. Elle mesurait 1m75 et faisait 95A de tour de poitrine. L’été approchait et je l’attendais avec impatience car le bac était fini. Restait à attendre les résultats. C’était pour moi l’occasion de retrouver mes amis et d’aller à la plage. Mais rien ne se passa comme prévu : ma grand-mère tomba malade et elle demanda à notre voisine de me garder car elle devait être hospitalisée ; et c’est là que tout commença pour moi. Bien sûr, moi je ne voulais pas rester avec elle, pensant que mes parents seraient là. Mais comme à chaque fois ils devaient rester sur Lyon pour leur travail. Donc je me pliai à la volonté de mes parents. J’avais l’intention de faire ce que je voulais. Les premiers jours ne furent pas de tout repos : il nous fallut apprendre à nous connaître. Au bout de quelques jours, il me fallut aller chez ma grand-mère pour faire le jardin. Lorsque je reviens à la maison pour midi, je trouve ma voisine au bord de la piscine, les seins à l’air. Je reste dans la pénombre à regarder, je commence à bander. C’est alors qu’elle se lève ; je fais un pas en avant. — Ah, tu es rentré ? — Oui, je viens d’arriver. Je bande de plus en plus car elle s’est approchée de moi. Ses seins nus sont magnifiques. — Excuse ma tenue, mais je ne m’attendais pas à te voir si tôt. Je croyais que tu ...
... allais passer toute la journée chez ta grand-mère, et c’est pour ça que tu me vois seins nus. Le repas fut vite expédié car je voulais faire une sieste pour pouvoir sortir ce soir. Je me réveille quelques heures plus tard avec une drôle de sensation dans le caleçon, je regarde : une tache. Je me suis pissé dessus ou quoi ? Je regarde dans le lit : rien, pas de tache. Donc je file en direction de la salle de bain, j’ouvre la porte et je surprends ma voisine nue. Comme je suis à moitié bandé, mon érection se poursuit. J’ai le gland qui sort du caleçon et ne sais pas si elle m’a vu, mais tant pis, je prononce : — Excuse-moi. Et je referme la porte. Je retourne à ma chambre. Un instant plus tard, elle tape à ma porte. — Entrez, dis-je. Elle entre, mais cette fois elle a mis un peignoir et s’assied à côté de moi. J’ai du mal à cacher la bosse dans mon boxer. Je la prie de m’excuser : — Je suis désolé d’être entré sans frapper. — Tu ne pouvais pas savoir que je me trouvais là, et puis j’aurais dû fermer la porte à clé. — Sans doute, mais j’aurais, moi aussi, dû frapper avant d’entrer. — Oui, aussi. Bon, excuse acceptée. Je la vois baisser les yeux. Elle me regarde avec un grand sourire ; je baisse les yeux moi aussi, et je vois mon gland qui est sorti du caleçon tellement je bande. — Ne sois pas gêné de ce qui t’arrive ; chez un garçon de ton âge, c’est normal. Mais fais quand même plus attention et oublie. Je voudrais bien, mais je ne peux pas. Je file sous la douche qui me calme ...