1. Ma femme au dessert


    Datte: 15/08/2019, Catégories: fhhh, hplusag, inconnu, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation entreseins, fgode, légumes, fdanus, ecriv_f,

    Ce soir-là, Maria et moi avions décidé d’accepter une invitation et d’aller dîner dans un restaurant très sélect et très chic et surtout où personne ne nous connaissait. Durant le trajet en voiture, Maria avait plaisanté sur le côté secret de notre destination. Sur l’invitation que nous avions reçue, il était précisé que nous devions être masqués avant de pénétrer dans la salle où devait se dérouler le dîner… mais le petit carton ne contenait aucune précision sur le thème de la soirée. Je dois reconnaître que cela me mettait dans un état étrange où se mêlait le désir fou de l’inconnu et l’appréhension de ce même inconnu. Maria me taquinait en imaginant les choses les plus saugrenues et les plus osées. Mais je voyais au creux de sa poitrine des légères contractions et d’imperceptibles frémissements qui trahissaient son état. Elle aussi était nerveuse et excitée par l’étrangeté de cette invitation. D’ailleurs, elle avait le ton rauque et la voix grave et chaude comme un souffle de fœhn. Quand elle s’était vêtue, tout à l’heure à l’hôtel, elle avait commandé une bouteille de champagne pour « bien commencer la soirée ». Elle avait effectivement bien commencé ! Nous avions vidé le nectar, modérément pour moi, mais Maria s’était laissée aller à sa boisson favorite et son regard pétillait déjà de sensualité. Elle regardait à travers la vitre de la voiture les bandes blanches qui défilaient sur les bords de la route en réfléchissant les brillances de la pleine lune. Je la regardais ...
    ... furtivement. Elle était vêtue sobrement, une robe noire, longue et très collée à son corps, boutonnée sur le devant par une brillante et délicieuse rangée de boutons nacrés. Je n’avais pas vu ce qu’elle avait mis en dessous, elle m’en réservait la surprise pour plus tard. Dans la pénombre, je n’apercevais d’elle que ses longs cheveux noirs, les boutons qui enfermaient son corps et les escarpins noirs qui terminaient ses longues jambes gainées de noir. Je me posais, bien sûr, la question de ses jambes, justement ! Avait-elle mis des bas ou des collants ? Ce détail aussi, je m’en réservait la surprise pour la suite de la nuit. Perdu dans mes pensées et dans la contemplation furtive du corps habillé de ma femme, je ne m’étais pas aperçu que notre destination approchait. Un bâtiment tout en pierre se dessinait à la lumière des phares. Sur le parking, il y avait deux autres automobiles de grosses cylindrées. En montant les quelques marches de l’imposant perron qui menait dans la salle de restaurant, je m’extasiai une énième fois sur les hanches de ma femme… des hanches larges et biens dessinées… des hanches faites pour être caressées… des hanches faites pour l’acte d’amour. Maria devait sentir mon regard car elle exagérait sa démarche ondulante et la cambrure de ses reins, là où le dos ressemble à la lune. Elle ressemblait à une panthère noire touchant à peine le sol de ses hauts talons, comme des griffes brillantes. Nous sommes entrés dans un espace feutré avec de grandes tables ...
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