Rêvait-elle encore ?
Datte: 03/09/2017,
Catégories:
fh,
jeunes,
inconnu,
train,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
portrait,
... genou sur la banquette tout contre le dossier et m’installai à califourchon au-dessus de ses fesses. Parvenu à un parfait équilibre, je saisis du bout des doigts chaque extrémité de son pantalon et entrepris de le faire glisser le long de ses cuisses. La jeune fille remua alors des hanches en échappant un gémissement, bâilla, et plongea de nouveau dans son sommeil. Les palpitations de mon cœur étaient à leur maximum d’intensité, prêtes à déchirer ma cage thoracique. La sueur rampait le long de mon échine comme une limace glacée, laissant derrière elle une trace chargée d’interdits. L’apothéose n’était plus très loin. Je parvins ainsi à baisser son pantalon à mi-cuisses. Le tableau qui s’offrait à moi me laissa sans voix. La taille haute, elle possédait un cul à la fermeté et au galbe magnifique, accentué par une cambrure orgueilleuse. Sa peau étincelait comme l’or au soleil, luisante d’un éclat venu d’ailleurs. L’écrin de dentelle blanche était à la mesure de ces fesses qui s’amusaient de leur perfection. Bien qu’étudiante, cette fille avait du sang bleu dans les veines, c’était une aristocrate de grande race, l’ultime princesse d’une dynastie solaire. Je n’y tenais plus. Alors je baissai la fermeture éclair de mon pantalon, me déboutonnai en hâte et fis glisser caleçon et jean sur mes cuisses à mon tour. Ma queue longue et fièrement dressée battait au rythme des palpitations qui faisaient vibrer ma carcasse toute entière. Puis je passai enfin ma langue sur ses fesses ...
... délicates, la gorge sèche et sans salive aucune, longeant sa raie pour rejoindre lentement sa fente. J’étais maintenant dans cet abyme sans fin, déterminé à pénétrer le saint des saints, ce sanctuaire qui m’était désormais destiné. Lorsqu’un nouveau gémissement de la nymphe me ramena subitement à la dure réalité. En continuant ainsi, elle finirait par se réveiller pour de bon, c’était inéluctable. Et à tout moment, le contrôleur risquait de faire sa ronde… d’autant que Dijon, le prochain arrêt, n’était plus qu’à un quart d’heure. Les bruits inhérents à la gare, sans compter les nouveaux arrivants, risquaient de tout foutre en l’air. Il me fallait faire vite. C’était exactement ce qu’exigeait ma queue pleine d’un désir insupportable. Un mince filet de liquide séminal s’écoulait lentement de l’extrémité de mon gland pour rejoindre la fesse gauche de la fille comme une toile improbable. Alors je passai mes pouces entre les élastiques du string et l’abaissai délicatement au niveau des cuisses, laissant deviner la tiédeur de sa toison. Je m’emparai ensuite de ma queue et l’appliquai sur toute sa longueur dans sa raie. Puis je commençai à aller et venir dans ce gouffre chaud et humide. Un volcan m’envahit aussitôt tandis que je me branlais dans la couche de ses fesses impudiques, mordant mes lèvres jusqu’au sang pour garder le silence. Je n’avais alors qu’une envie, celle de lui agripper la tignasse pour la déchirer de part en part. Je souhaitai rompre ce silence par ses cris et ses ...