1. 51.1 Le Jérém à peau mate et le Thibault à dos large


    Datte: 18/08/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    (100éme épisode de J&N) Mon regard est pile à hauteur de sa bosse, cachée par ses mains… je place mon nez juste en dessous… j’approche un peu plus, et très vite je sens la douceur de ses bourses à travers le short… je prends une lente inspiration… j’ai l’impression que des petites molécules odorantes transpirent à travers le tissu… je suis fou… Avec mon nez et avec mon front, j’impulse un lent mouvement vers le haut, en forçant contre ses mains… c’est ma façon de lui demander de me laisse le champs libre… j’insiste, je l’encourage en titillant un peu plus ses bourses avec mon nez… Le message semble enfin passer car, quelques secondes plus tard, ses mains s’envolent… ses coudes se plient et ses avant-bras prennent appui sur la rambarde… Putain… dans cette position, se biceps sont encore plus impressionnants… sacré petit taureau… Le champ enfin libre, sa bosse se présente devant mes yeux… elle est assez impressionnante… j’avance mon buste et je pose mes lèvres dessus… elles massent, caressent, désirent, apprécient… je ressens le gabarit et la chaleur de sa queue à travers le tissu… c’est bon, ça… Le mec semble apprécier ce contact, j’ai l’impression que son beau corps est parcouru par un petit frisson incontrôlé… petit à petit, il semble se décrisper… il me semble même l’entendre lâcher un halètement de plaisir… c’est rudement bon ça… Alors, comme à chaque fois que la preuve d’un plaisir masculin que j’ai provoqué se présente à moi, voilà, je m’enhardis… Quelques minutes plus ...
    ... tôt… Jérém sort de la salle de bain lancé comme un boulet de canon, habillé à la hâte d’un short rouge et d’un débardeur blanc, les pieds nus, juste sexy en diable… en trois enjambées il travers le petit séjour… sa main se pose sur la poignée, le battant s’ouvre… Et là, une surprise m’attend, une surprise de taille. Se tenant dans l’embrasure de la porte, un charmant garçon vient d’émerger de la faible luminosité du couloir de l’immeuble. Un t-shirt marron plutôt ajusté à son torse bien charpenté, des biceps rebondis, un cou puissant, un dos râblé, un short noir laissant dépasser deux mollets musclés et recouverts d’une bonne pilosité, des mollets de rugbyman… Thibault est là… Celle-là, vraiment je ne l’ai pas vu venir… et à en juger de son expression, le bomécano est tout aussi surpris de me trouver là que moi de le voir débarquer… tout comme, à en juger de sa réaction, Jérém non plus n’avait pas prévu ça… « Salut ! » j’entends Jérém accueillir Thibault, le ton excessivement affable et jovial, comme pour masquer son embarras, un malaise qui ressemble à celui d’un gamin pris la main dans le pot de Nutella (bon, ok, ce n’est pas sa main, et encore moins dans le pot de Nutella, que le beau mécano a failli surprendre son meilleur pote, mais l’image se tient). Les torses se frôlent, les deux potes se claquent la bise, pecs contre pecs. « Salut… » j’entends le beau mécano lui répondre, sa voix marquant clairement l’étonnement de me voir là, à cette heure tardive. Oui, le bomécano ...
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