1. Une Longue Vie d'Étudiant - Le Lycée Partie 2/?


    Datte: 18/08/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    Petite précision, vu que l’on m’a posé la question : Mr P. avait 29ans au moment de mon année de première (il a fait son master de biochimie, puis a passé son CAPES et est venu s’installer au soleil dans le Sud). Sur ce, voici la suite : bonne « dégustation » ! Apparemment, il en veut plus. C’est dingue comme une soirée « diner avec un professeur » peut rapidement se transformer en soirée « fellation et anulingus ». Il se déshabille devant moi, avec un regard quasi lubrique. Je découvre des abdominaux magnifiques (les 4 paires, excusez du peu) et des pectoraux de culturiste. Mr P. étant blond, il n’a pas un poil, exception faite de son pubis (que j’aurais le plaisir d’apprécier plus tard). Je vois une bosse se former au niveau du pantalon : on a tous déjà eu ce sentiment que quelque chose de gigantesque arrivait ; on ne sait pas de quoi il s’agit, mais on sait que ça arrive. Eh bien là, c’était la même chose : je n’avais pas encore vu la chose, mais je savais pertinemment bien que c’était énorme. Il retire son jean, le boxer vient avec, et je le découvre nu, avec une verge gonflée, absolument gigantesque : pas particulièrement longue, mais incroyablement large avec des veines qui courent le long. Et c’est à ce moment-là que je me suis dit que j’étais dans la m**de : parce que savais très bien que ce monstre de chair n’allait pas entrer en moi sans douleur. Il se rapproche de moi, et me fait me retourner : je suis sur le meuble de cuisine, sur le ventre, avec les jambes vers ...
    ... le bas, et les fesses offertes à mon professeur. Il ouvre un tiroir de cuisine, et en sort un préservatif et du lubrifiant. Attendez : qu’est-ce que ça fout là ça ? Le salaud avait prévu que ça dérape. Bordel que ça me fait bander de penser qu’il a voulu que cela arrive. Il enfile la capote, écarte mes fesses d’une main et me dit « Ne bouge pas » : il verse le lubrifiant depuis le haut de la raie de mes fesses, qui coule le long de la commissure entre les deux lobes fessiers, jusqu’à ma rondelle qui se contracte à cause de la faible température du produit. Je me mords la langue, presque jusqu’au sang, tellement cela me procure une sensation à la fois désagréable mais aussi de pur plaisir sexuel. Il pose une main sur mon dos, m’embrasse dans la nuque, et me souffle à l’oreille « Détends toi : ça va faire mal, mais ça ira mieux après ». Son chibre droit comme un bâton vient se poser contre mon anus, et il commence à pousser avec les hanches. Le gland commence à entrer, et je ressens une forte douleur, qui irradie dans le bassin. On y pense pas au quotidien, mais l’anus est une zone extrêmement sensible : et là, j’ai pris connaissance de ce détail physiologique de l’anatomie humaine : je ressens chaque veine épaisse et chaque cm² de ce cadeau divin. Il me pénètre doucement, lentement, mais inexorablement, comme une coulée de lave qui viendrait enflammer mon fondement en détruisant tout sur son passage. « Ca va aller ? Tu vas supporter la douleur ? » me demande t’il. En guise de ...
«123»