Histoire d'O et d'A - Histoires de Sexe

Histoire d'O et d'A

... nous étions seuls, lui et moi. Je proteste mollement : — Chéri, t-tu fais q-quoi ? (ma voix tremble un peu)— Je montre à quel point tu es désirable (il soupèse mes seins, les malaxe)— Mais… mais… Il saisit la main d’Alex qui se laisse faire, assez surpris. Il tourne la tête vers Alice qui est sidérée : — Ne t’inquiète pas, Alice, je suis là, je veille. Puis sereinement, il pose la main d’Alex sur mon sein : — Tâte, apprécie cette douceur, ce moelleux. Qu’en penses-tu ?— Ce… oui… c’est très doux…— C’est moelleux ?— Oui… c’est moelleux… Pour ma part, je suis stupéfaite, je me laisse faire sans réagir, tellement je suis sciée ! Quant à Alice, elle a la bouche grande ouverte, mais aucun son ne sort. Olivier se lève, et vient se poster derrière moi, tandis que mon amant, un peu dépassé par la situation, a toujours sa main sur mon sein. C’est alors que mon mari relève carrément mon top, dévoilant mes seins à tout le monde. — Voilà, ce sera mieux ainsi. Il serait idiot que de si beaux seins restent cachés sans que nous en profitions, n’est-ce pas, Alex…— Euh oui, sûrement… (Alex hésite entre retirer ses mains ou me peloter de plus belle).— Allez, vas-y, ne te gêne pas. Si la nature a mis des seins aux femmes, c’est pour que les hommes en profitent.— Euh, d’accord, si tu insistes…— J’insiste ! Et joignant le geste à la parole, mon mari prend mes seins à leur base, et joue carrément avec eux, tandis que mon amant s’amuse avec mes tétons. Alice a toujours la bouche grande ouverte, ...

... toujours muette, complètement larguée. Moi aussi, je suis dépassée, le pire est que je me laisse faire ! — Peux-tu lever les bras, ma chérie ?— Euh, oui… pourquoi ?— Pour que je t’enlève ton top, tu n’en as plus besoin.— Oui, oui, elle n’en a plus besoin ! (Alex abonde dans le sens de mon mari, ah ces hommes !) Ballottée par les événements, machinalement, je lève les bras, et je me retrouve seins nus, à me faire peloter par deux hommes. Mon mari fait signe à mon amant de venir plus près : — Allez, approche, Alex ! Ce ne sera pas mieux comme ça, plus près, juste à côté ?— Ah si, c’est nettement mieux ! Puis Olivier se recule, contemplant mon amant en train de s’amuser avec mes seins. Toujours avec le sourire, il s’approche d’Alice, qui ne comprend plus ce qui se passe sous ses yeux. Elle le regarde avec des grands yeux humides. Il se penche délicatement sur elle : — Ne t’inquiète pas, Alice. Ton mari et ma femme jouent ensemble.— Ils… ils jouent !?— Oui, c’est un certain type de jeu. Pour adultes, je le reconnais. Il se positionne derrière elle, posant ses mains sur ses épaules dénudées. — Regarde, crois-tu qu’ils détestent jouer ? Ton homme adore les seins de ma femme, je ne peux pas lui donner tort. Moi-même, je les vénère !— Et… et tu laisses faire ?— Alice, connais-tu la loi des équilibres de l’alchimie ? Étonnée, elle lève la tête vers mon mari, le dévisageant comme s’il était fou, avant de prononcer d’une menue voix : — Ce… ce que tu prends d’un côté, il faut donner quelque ...