1. les confessions de Natacha (1) (2)


    Datte: 18/08/2019, Catégories: Divers,

    ... vraiment une superbe salope soumise Natacha, je te laisse mon numéro et ce serait avec grand plaisir que j’aimerai poursuivre ton éducation. » Je lui laissais également mon téléphone et le train arriva. Il fallait que je remette de l’ordre dans mes esprits, mon petit copain me fit remarquer que j’avais les cheveux en pagaille dans la voiture, je prétextais une sieste… si il savait ! Je trouvais que je sentais fortement le sperme mais lui ne semblait rien remarquer. J’avais encore la semence de René qui sortait de mon petit trou, visiblement il n’avait pas juté depuis un moment, je n’avais pas eu le temps de prendre un chewing gum ou me lavait les dents pour masquer l’odeur de ma dernière pipe. Mon copain avait beau faire la conversation, j’avais clairement la tête ailleurs. Les jours passaient et je me raisonnais en me disant que mes pulsions m’avaient joué des tours et ne voulait plus vivre ces moments, j’en faisais part à Jean Marc dans les sms que nous nous échangions. Il me disait que c’était normal au début d’avoir ce genre de réactions mais que si je ne voulais pas aller plus loin, il me comprenait, il garderait un très bon souvenir de notre rencontre . C’est ce que je lui demandai et il me laissa tranquille ; La semaine touchait à sa fin et j’allais repartir à Paris. Il n’y avait pas eu une journée sans que je repense à ce qu’il s’était passé sans trop savoir quoi en penser au final… Dans le train du retour, je fus plus sage. Cette fois ci je n’étais pas seule dans mon ...
    ... compartiment, un homme d’une soixantaine d’années était en face de moi. Je sentais qu’il matait mon décolleté et mes cuisses mais j’étais figée dans mon livre. Il commença à me faire la conversation sans que je lui réponde vraiment. Il était hors de question que je me laisse à nouveau aller à des ébats lubriques et il comprit assez rapidement qu’il était inutile d’insister. Là j’entendis un contrôleur, c’était la voix de René, j’en étais certaine. Il entra dans le compartiment en m’apostrophant : « Oh mais c’est ma belle Natacha ! Il me fit la bise en me serrant les hanches, je le jugeais trop insistant avec ses mains et les enleva promptement — Oh tu étais plus docile l’autre jour » J’ ‘étais morte de honte… Heureusement le train arrivait en gare de Marseille et l’autre homme prit sa valise pour descendre mais il me tendit un mot qu’il avait eu le temps de préparer sans que j’y prête attention. « A bientôt j’espère Natacha » Je pris machinalement sa carte qu’il me tendait pendant que René se tenait là, une fois l’homme parti, il me lança « Un nouveau conquérant ma chérie on dirait » — Pas du tout je ne le connais même pas — Tes charmes agissent spontanément surtout avec des tenues aussi sexy sur une belle poupée comme toi ! C’est naturel, tu dois t’y habituer si en plus tu deviens une vraie petite salope, tu vas rendre heureux des tas d’hommes ma belle » Ces compliments naturels avaient le don de m’exciter un peu, j’étais toujours assise alors que René se tenait debout face ...
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