COLLECTION ZONE ROUGE. La vérité n’est pas toujours bonne à entendre (2/2)
Datte: 19/08/2019,
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Dans la zone rouge,
• Non, maman, n’insiste pas, je ne te dirais pas le nom du père de l’enfant que j’attends, la seule chose que je peux te dire, c’est que c’est le soir de mes dix-huit ans, quand je suis sortie avec Léa que j’ai fait l’amour. C’est la conversation que j’ai avec maman qui m’a conduit chez le père Luc le confesseur du moment en remplacement du père François malade un certain temps. En sortant, le père Luc étant certainement le père de mon enfant, problème de capote, il rappelle à maman qu’elle a un secret à m’avouer, il concerne ma naissance. • Ma naissance ? • Oui, ton père n’est pas ton père. • Quoi, que dis-tu, tu es folle, qui est-ce, ou comme moi pour mon enfant, tu l’ignores ? • Je sais très bien qui il est, ainsi que ce qu’il fait, depuis la première fois où j’ai fait l’amour avec lui, nous le faisons toujours régulièrement jusqu’à il y a peu ou il est tombé malade. • Malade, j’ai peur, tu es la maîtresse du curé François, c’est pour cela qu’il venait les dimanches après-midi et que vous m’envoyez dans ma chambre jouer à la poupée quand j’étais petite, dès que papa partait à la pêche sur sa barque. • Oui, nous faisions l’amour le voyant sur la Sarthe et dès qu’il reprenait ses rames, ton père rentrait au presbytère, je dois te dire comment tout cela a commencé. Tu sais que dans ma famille nous sommes très croyants, je vais à la messe tous les dimanches depuis que je suis toute petite, mes parents veilles France m’ont fait rencontrer celui qui devait officiellement ...
... devenir ton père. Le père François nous a mariés, pendant la cérémonie, nos regards se sont croisés et c’est là que j’ai pensé que je faisais une bêtise à avoir accepté la proposition de mes parents. • C’est dans les jours suivant que tu es devenue sa maîtresse ! • Non, j’ai respecté mon engagement, j’étais une épouse vertueuse prête à faire ce que nos familles attendaient de moi, leur donner un héritier. Les semaines et les mois passaient et j’avais toujours mes règles, j’avais une amie infirmière qui m’a aidé, son idée était que je récupère une poche de sperme, faisant croire à ton père qu’un petit problème de femme, l’obligeait à mettre une capote. Bonne pâte, il a accepté, analyse faite, il était stérile, une histoire d’oreillon petit en étant la cause, j’ai décidé de prendre un amant, je me suis rappelé le regard entre François et moi. Trois jours après, nous étions dans son lit au presbytère, puis le dimanche à la maison, tu es née onze mois après notre première fois, mais j’y avais pris goût, ton père me délaissant de plus en plus, jusqu’à m’ignorer depuis deux ans. Tu as été conçu dans l’amour et François t’apportait ce qu’il pouvait n’étant pas riche en tant que curé de notre paroisse. La confession de maman me ramenait sur terre, elle baise avec un curé, j’ai des fortes chances d’avoir été engrossé par un curé, le monde étant un éternel recommencement. • Et toi, que t’a conseillé le père Luc ? Il a peut-être une solution et viendra dans quelques jours nous dire si c’est ...