1. Véronique au bureau (3)


    Datte: 20/08/2019, Catégories: Lesbienne

    Ana, ayant laissé Véronique, pour rejoindre son bureau, mais une idée lui vint. Elle avança jusqu’au hall d’entrée, où se trouvait Fauve, puisqu’elle s’occupe de l’accueil de la clientèle et du standard, par chance, il n’y avait personne. Elle vint à sa droite, se positionnant au plus près d’elle, pour se pencher et lui soufflait au creux de son oreille. J’ai adoré !! J’en suis encore toute trempée !!! Ça te dirait de me faire du bien ?? À la fermeture ?? Fauve, sans même lui demander son avis, commença par lui glisser une main sous la liquette souillée, pour remonter le long du legging et venir vérifier si cela se confirmait ? Sans la quitter des yeux, un sourire aux lèvres. Hum !! Je n’y manquerai pas !! OK, ma p’tite chatte, 17heures !!! Alors, ce legging, tu l’avais oublié où ??? Chez Véronique !!! Je me trompe ??? Ana, bouche B, troublée, ne pouvant lui répondre, par le fait de la caresse, un doigter vulvaire, efficace, au travers du léger tissu rose, la pénétrant d’un demi-majeur, et à la fois par cette question embarrassante. Je... Je l’avais laissé dans mon vestiaire !!! Il me gênait !!! Allez !! À tout à l’heure !!! 17 heures !! Aux archives !! On sera plus tranquille !!! OK, j’y serais !!! Avec beaucoup de mal, Ana se retira de cette main masturbatrice, tout en aguichant une dernière fois, d’un regard envieux et soutenu, un clin d’œil, sourire, avant de se diriger dans le couloir, pour enfin, prendre sa place à son bureau. Elles étaient à deux à travailler dans le ...
    ... même service, chacune dans un coin de la pièce, se faisant face, afin de laisser un accès de passage. Un point important, les bureaux étaient ouverts à l’avant, banals à l’ordinaire, mais, judicieux pour le voyeur qui se cache au fond de nous. Fauve « Je te défoncerai tes deux orifices, ma cochonne, tu en auras mal au cul » se dit-elle. Tout en humant son majeur droit, parfumé de la cyprine qui tapissait l’entrejambe rose, à s’enivrer. Tout en étant ruisselante au plus profond d’elle-même. Pour ne pas attirer trop l’attention de sa collègue, Ana se fit la plus discrète possible. Malgré de fortes brûlures clitoridiennes, l’obligeant à se mouvoir, ne trouvant pas une position qui la soulagerait. Pouh !! Quelle matinée !! À courir d’un côté, d’un autre !! Et il est 11heures et demie !!! Personne m’a cherché ?? Cherchant à se justifier auprès de sa collègue, qui elle, avait le nez sur son écran, occupée à taper son rapport. C’était une jeune femme, la quarantaine, brune, cheveux mi-courts, ondulants, aux yeux noisette, à l’allure sportive qui la rendait très masculine, une poitrine ferme en 90C, que l’on ne peut ignorer du regard. Pour sa tenue, elle se plaisait qu’en jean, ou pantalon moulant, lui faisant ressortir en détail, son entrejambe et sa raie fessière, débardeur de coton, aux différentes couleurs pastel, sans soutard, laissant se dessiner ses grandes auréoles brunes de ses mamelons. Divorcée, elle vit seule, pouvant ainsi, profiter de tous les moments de la vie. Quand ...
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