Sur le balcon
Datte: 03/09/2017,
Catégories:
fh,
couple,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
jeu,
lieuxpubl,
... surprendre. Malgré ça, la tête me tournait tant le jeu me plaisait, et tant l’excitation était présente. Je n’arrivais pas à savoir d’où me venait tout ce cran infaillible. Peut-être de mon érection limite douloureuse qui me poussait à profiter encore et encore de cette occasion qui pouvait être la seule de ma vie. Ou alors parce que de voir le désir et le plaisir dans les yeux de cette femme splendide me poussait à dépasser les limites. Était-ce divin ? Une chose est sûre, cette fellation sur le bord du balcon m’avait mis dans un état pas possible. Le jeu m’enivrait et je savais que ça lui vrillait les nerfs. Elle se tourna, très lentement, en me jetant un regard destructeur. Quelque part, c’est elle qui avait tout le pouvoir sur moi, ou alors nous nous l’échangions sans cesse. La courbe des hanches, puis le dos et les fesses m’apparurent. En chaloupant gracieusement sa croupe, elle fit claquer cinq fois ses talons hauts sur le bois pour atteindre la rambarde. Ses yeux libidineux s’emparèrent des miens quand sa tête se tourna vers moi, l’air de m’inviter à la prendre sur le champ. Je m’étonnai de mon calme et mon contrôle, galvanisé par l’impression de puissance qui m’envahissait. Pour la faire attendre, je m’appuyai au mur et lui ordonnai d’une voix calme de bouger pour moi. Dans la nuit, j’admirai des formes pleines se mettre en mouvement pour me rendre encore plus fou d’elle. Elle oscillait, ondulait et chaloupait et au bout d’une intenable minute, elle y ajouta un ...
... très léger râle plaintif. En deux pas, j’avais rejoint son corps somptueux et je me fis violence pour ne pas outrageusement la prendre. Je conservai mon rôle de dominateur, que je ne me connaissais pas, au prix d’un effort surhumain. Je me fis chaud et calme et m’inclinai un peu pour poser la main sur son mollet et le caresser longuement, en palper la chair et la masser pour très patiemment remonter à l’arrière de son genou, puis sur sa cuisse que je contournai pour en sentir la chaleur. — Ouvre tes cuisses. Ma voix me surprenait encore, mais l’excitation de son obéissance instantanée m’émerveilla. Le compas de ses jambes s’ouvrit largement. Un dernier claquement de talons et elle était offerte devant moi, pour notre plaisir. Sa peau frémissait sans discontinuer et elle gémissait doucement tandis que mes pouces remontaient à l’intérieur de ses cuisses. À quelques centimètres de son sexe brûlant, je découvris avec satisfaction l’effet incontestable de la situation : elle mouillait tant que sa peau en était trempée. Je laissai mes paumes la pétrir et étendre doucement sa cyprine puis continuai ma progression. Je me redressai, mon sexe voulant éclater de la posséder, et me positionnai derrière elle. Une main grimpa tout près de son sexe, le pouce enfoncé dans sa chair à un tout petit centimètre de sa chatte qui me faisait envie à m’en faire mal. L’autre main épousant la chute de ses reins, flattant et cajolant sa peau. Elle hoqueta dès que j’appuyai mon membre entre ses lèvres. — ...