1. Mélanie, étudiante à Bordeaux (6)


    Datte: 21/08/2019, Catégories: Trash,

    Pendant trois heures, sans relâche – du moins pour Mélanie – les quatre blacks plus Freddy se relayèrent dans l’anus de la pauvre jeune fille. Si au début elle poussa quelques couinement, rapidement elle tomba dans un état d’hébétude, son corps épuisé ne réagissant plus. Ce que voyant, ils recoururent aux stimulis tels que claques sèches sur les fesses, torsions des aréoles qui prirent une teinte violacée et gonflèrent encore plus sous l’afflux de sang. Dans un premier temps, elle réagissait en se cabrant et en protestant, mais rapidement elle atteignit un point où rien ne la touchait plus. Ce que voyant, Marc la souleva et la jeta dans la piscine. Elle cria en entrant dans l’eau, but la tasse et se mit à tousser, puis elle nagea sur place en regardant autour d’elle, les yeux encore voilés. Les six hommes étaient alignés devant elle, nus et sexe dressé. Elle déglutit, comprenant que la soirée était loin d’être finie, et gagna un endroit où elle avait pied. Là, elle dénoua sa queue-de-cheval et plongea un instant la tête dans l’eau pour s’éclaircir les idées. — Alors, ça va mieux ? Tu es prête à continuer ? demanda Freddy en caressant lentement sa bite noueuse. Pour toute réponse, Mélanie gravit les marches et sortit de la piscine. En grimaçant, car son bas-ventre la lançait terriblement. Monsieur Lenoir s’en aperçut et leva le bidon de lubrifiant sans rien dire ; elle lui sourit, reconnaissante, et prit à nouveau la position deux, lui permettant de déverser directement le ...
    ... lubrifiant dans l’anus encore béant malgré le plongeon dans la piscine. Cela fait, il enfonça quatre doigts jusqu’à la jointure du pouce sans problème autre qu’une crispation chez la blondinette. — Allez, les gars, à fond maintenant ! Ils se ruèrent sur elle comme des morts de faim, et c’est Marc qui fut le premier à la sodomiser ; l’anus reçut la totalité de la gigantesque bite sans broncher, et il le pilonna dix bonnes minutes avant de laisser sa place. Les cris de gorge de Mélanie électrisaient les hommes qui se bousculaient presque pour prendre leur tour dans les reins dociles. Souvent, entre deux, ils présentaient leur engin devant la bouche purpurine de la jeune fille qui les suçait et leur ouvrait sa gorge, ils pouvaient alors la prendre à leur guise, lui arrachant parfois des larmes sous la brutalité de leurs assauts. Quand ils arrêtèrent la bacchanale, il était presque minuit. Mélanie gisait amorphe sur le tapis, couverte de sperme et de sueur ; la respiration lourde, elle était dans un état second et semblait totalement incapable de bouger. Les hommes se douchèrent et s’habillèrent, puis deux blacks soulevèrent le tapis de bain par les extrémités et posèrent Mélanie dans le coffre de la berline de Lenoir. Elle fit le voyage de retour ainsi, reprenant ses esprits dans la fraîcheur et le noir. C’est donc nue qu’elle dut sortir péniblement du coffre dans le garage ; elle tenta en vain de retenir des gémissements sous la douleur qui poignardait ses reins à chaque pas, mais ...
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