1. Les moches sont les pires des salopes


    Datte: 21/08/2019, Catégories: fh, gros(ses), complexe, laid(e)s, sauna, forêt, hotel, amour, ffontaine, entreseins, Oral fsodo, coprolalie, fouetfesse,

    ... tu le veux bien, consacré à l’amour pervers.— À quoi donc nous sommes-nous occupés hier ?— Très cher, si je t’ai livré une vierge, force m’est de constater que pour l’instant, tu ne t’es acquitté qu’à moitié et de ta peine et de sa défloraison. Une fois de plus je me demandais si j’avais bien entendu et si elle concevait clairement ce qu’elle venait de demander. — Tu veux bien dire…— Je veux bien dire qu’il nous reste de la confiture et du beurre, et qu’il serait hautement préjudiciable de les abandonner aux chiens quand je connais telle chienne en chaleur qui s’en ferait volontiers tartiner le postérieur.— Mais sais-tu que cela risque d’être bien plus meurtrissant que ton initiation de vendredi ?— Le vendredi est jour de passion, dimanche de résurrection. Mon sourcier bien aimé, ai-je d’une quelconque manière allégué prudence ou pruderie pour, jusqu’ici, me dérober ? J’ai tant d’incompétence à combler ! Si je dois m’effarer du moindre désagrément, de la plus petite souffrance, s’il me faut des lustres pour m’y préparer, comment parviendrais-je un jour à accoucher ? Faut-il donc qu’à tout le bonheur corresponde son pesant de maux ? Je n’appartiens pas à ceux qui s’en font religion ; néanmoins, en la présente occurrence, je ne détesterais pas t’offrir ce sacrifice. Je le veux tel pour le sceller dans ma chair par quelques douleurs lentes à s’effacer. C’est à dessein qu’une athée convaincue a utilisé ces pieux vocables car tout pour moi, depuis le saint vendredi, relève du ...
    ... sacré. Dans un raccourci brillant, elle venait de conjuguer amour pervers et maternité, me faisant là un cadeau d’exception et ouvrant des perspectives que je n’avais pas envisagées. Tout sourire, elle reprit : — Mais laissons là ce verbiage pour nous adonner aux travaux pratiques. Elle s’enduisit le buste de confiture de myrtille en regrettant que celle-ci n’ait pas la tiédeur et le goût de l’autre, dont hier je l’avais aspergée ; puis, me tendant fièrement son buste, elle m’ordonna : — Nettoie s’il te plaît cette horreur : le torse mauve ne me sied nullement. Je la pourléchai avec délice bien que n’appréciant guère la confiture de myrtille et me disant une fois de plus que tout n’était que question de présentation. — Tu devrais te laisser pousser la moustache, mais bien longue afin qu’elle hérisse tes lèvres et que je les éprouve comme un paillasson. Elle me tendit un à un ses doigts afin que je procède à leur toilette. J’étais assis sur mes talons, et quand j’eus achevé cette exaltante tâche elle vint s’installer sur mes genoux, face au gigantesque miroir qui si bien démultipliait la taille de notre chambre. Je glissai une main sournoise sous la voilette et entrepris de masser son torse déjà fort émoustillé par les ablutions auxquelles je l’avais soumis. Légèrement cambrée, la tête déjetée sur l’épaule, s’épiant dans la glace, elle se laissa faire dans un abandon somptueux. Sa poitrine plus altière que jamais crevait la nuisette d’attentes incendiaires. — Tu vois, sur tes ...
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