Voyage en Corse (3) - Histoires de Sexe

Voyage en Corse (3)

Enfin mon fantasme va se réaliser. Je vais devenir un homme, et c’est ma cousine, Sylvie, qui va s’en occuper. Après des chauds préliminaires, nous allons passer aux choses sérieuses. Nous sommes donc tous les deux dans cette chambre sur le lit de Sylvie, je viens de m’allonger sur ton corps bouillant de désir. Mon pénis est bandé comme un arc. Je le fais coulisser sur sa vulve, mon gland rencontrant l’entrée de son vagin à chaque passage. Le contact est déjà agréable, chaud. Nous nous embrassons, nos souffles sont coupés. Soudain, elle s’arrête, m’arrête. Je me redresse sur mes bras, toujours appuyé entre ses jambes — Adrien, j’ai envie de toi. Ce que tu m’as dit hier soir est réciproque. Je t’aime, je veux que tu fasses de moi une femme. Vas-y doucement ? — Je t’aime aussi Sylvie. En la fixant dans les yeux, en fonction de mes sensations, je place mon gland à l’entrée de son vagin. Avec sa main, elle dirige un petit peu. Je comprends que je peux pousser, ce que je fais. Je sens que mon gland commence à entrer, j’ai franchi une étape. C’est chaud, c’est doux. Je continue ma progression, vois que Sylvie fait la grimace et je sens une résistance. Elle lâche, je m’enfonce un peu plus loin, Sylvie pousse un gémissement. Je m’enfonce en elle, je sens ses chairs s’écarter, entourer mon sexe d’une douce chaleur. Les muscles de son vagin font une ceinture qui accentue les sensations. Mes sens explosent, j’arrive au fond, mon pieu étant complètement enfoncé dans son vagin. J’embrasse ...

... ma cousine et lui glisse un « Je t’aime ». Je commence un va-et-vient lent, les sensations sont intenses. Elle aussi apprécie, gémit de plaisir. Nous nous embrassons. Je ne vais pas tenir longtemps, elle le sait. — Tu peux te laisser aller, je prends la pilule. J’ai l’impression que mon sexe grossit en elle, j’arrête mon mouvement, je sens son vagin palpiter autour de ma queue. Je recommence, je l’embrasse, elle me caresse, j’accélère, elle gémit, je sens l’éjaculation arriver, la libération. Mon orgasme est violent, il me traverse le corps, comme si toute mon énergie était concentrée sur mon pénis au fond de son vagin. Nos deux sexes palpitent, je sens mon sperme se déverser en elle, je m’effondre sur elle, KO. Je reste dans cette position, nos sexes liés, je suis allongé sur elle, elle me caresse les cheveux. — Tu es mon premier homme. C’était une expérience fantastique, merci. — Merci à toi Sylvie. C’était parfait. Tu étais la personne qu’il fallait. Après quelques minutes de silence, nous nous sommes déboîtés et allongés comme la veille. Nous nous sommes ensuite rapidement endormis. Il doit être 8h lorsque je me réveille. Sylvie est en cuillère devant moi. J’observe son dos, je repense à cet instant partagé la veille. Une érection est en train de naître. Mon pénis est contre ses fesses. Sylvie, qui se réveille, les remue un petit peu. — Excuse-moi... Petite érection matinale. En guise de réponse, elle positionne son fessier d’une autre façon et fait des petits mouvements ...