Odile se raconte
Datte: 21/08/2019,
Catégories:
fh,
ffh,
grp,
extracon,
boitenuit,
danser,
contrainte,
pénétratio,
fsodo,
nostalgie,
historique,
bourge,
hff,
Partouze / Groupe
... poings sous la douleur. Il attend patiemment que tout se calme, puis continue sa progression, inexorablement. Je me ne rends plus compte, mon corps n’est que douleur, je me demande comment prendre cette fois encore du plaisir. La patience d’Idriis paie. Petit à petit, la douleur s’estompe. Il commence alors de petits va-et-vient, il me murmure de douces paroles en me faisant de petits baisers sur le dos, le cou, ou en me mordillant les oreilles. Sandra me caresse d’une main les seins et de l’autre s’insinue dans mon ventre. Sous ces doubles attouchements, je me détends, doucement mon corps accepte l’intrusion. Il accentue un peu la cadence, je me laisse faire, je me cambre pour mieux l’accepter et pour suivre son rythme. Ma bouche s’ouvre pour chercher l’air, d’une main, timidement, j’attire mon amant. Idriis continue son travail de sape, il est certain que cette fois encore la fille qui est sous lui prendra un plaisir rare. Intérieurement, il en sourit. Attentif à sa partenaire, il réagit dans un sens ou dans l’autre à mes moindres réactions. D’ailleurs, il me voit perdre toute retenue, c’est moi qui l’encourage à venir plus fort entre mes reins. Des ondes positives envahissent mon corps et mon esprit, je me laisse ballotter je ne pense plus qu’à jouir, jouir le plus longtemps possible. Je m’écroule, ivre de bonheur. En m’écroulant je me libère du membre d’Idriis qui se trouve tout désemparé, ne sachant que faire. Devant son air perdu, Sandra lui propose de faire une petite ...
... toilette. Sandra avait eu son compte, et pour ce soir, moi aussi. Elle nous propose de faire un dodo très câlin, nous acceptons, Idriis se couche contre moi, Sandra prend un drap, le met sur nous puis elle se blottit contre lui. Sandra est la première levée. Elle enfile une tenue de sport et part chercher des croissants et du pain frais. À son retour, elle nous trouve déjà en position. Idriis couché sur moi me pilonne avec un rythme endiablé, mes cris de jouissance peuvent en témoigner. Elle nous prépare un copieux petit déjeuner dépose le tout sur un plateau et se dirige vers nous. Arrivée auprès de nous elle nous parle, mais en vain. Elle dépose au sol son plateau et commence à déjeuner en nous regardant. Mais de nous voir ainsi en action réveille sa libido. Elle avale son bol de thé et s’essuie la bouche. À ce moment-là, ma jouissance explose. Sandra attend que je me calme et que je me sépare d’Idriis, que je tiens fermement par les hanches pour qu’il reste au fond de moi. Je me détends, relâche mon étreinte, l’embrasse pour le remercier de ces délicieux instants. Sandra nous propose alors de déjeuner. Après cet intermède gustatif, nos forces étant revenues, Sandra demande : — Et moi, alors, je tiens la chandelle ? Pourriez un peu vous occuper de moi ! Idriis et moi nous regardons, et d’un air complice nous nous jetons en même temps sur Sandra. Un tendre combat à trois, ponctués de soupirs, cris, et paroles « oh oui, encore, oh c’est bon, oui comme cela, maintenant, viens ...