1. Année de terminale (8)


    Datte: 03/09/2017, Catégories: Hétéro

    Je suis là, à quatre pattes sur le lit de Paul. J’ai peur. Lorsque j’ai senti son gland à l’entrée de mon anus, je me suis totalement contractée. Il m’a caressée le dos en me disant "Chuuut, détends toi. Ca sera plus facile, je t’assure. Et cambre toi un peu plus.". Je le sens appuyer, à commencer à rentrer. J’ai déjà mal, je suis certaine que ma peau est entrain de se déchirer. Je gémis de douleur, il se retire. • On ne va pas y arriver. • Si, il faut que tu le fasses. Tant pis si j’ai mal. Je préfère que se soit toi qu’eux. • C’est chaud, t’as le cul super séré en plus. Tant pis pour ça. Il se remet en position, recommence à rentrer, la même douleur, je mords l’oreiller. Et je commence à le sentir à l’intérieur. Il s’arrête, je lui demande • T’es dedans ? • Pas entièrement, juste le gland. Je continue. Je vais faire de petits vas-et-viens pour aller jusqu’au bout. Je le sens faire ce qu’il m’a dit, la douleur est toujours présente. Je lance des râles de souffrance, les larmes coulent de mes yeux, je serre fortement les draps. Ca dure si longtemps. Et puis, enfin, il est tout entier en moi. Il reste un moment sans bouger, mais l’entrée de mon cul me brûle. Et il recommence des vas-et-viens, avec de petits mouvements au départ, augmentant leur amplitude en même temps que mes gémissements de douleurs se calment. Ca me fait de moins en moins mal, et au bout de quelques minutes, je ne souffre plus du tout. Et il me demande • Ca va ? • Oui. • Tu aimes ? • Je ne sais pas. ...
    ... C’est un peu étrange comme sensation. Mais, je ne déteste pas. Il continue encore un peu et se retire. Je ne l’ai pas senti éjaculer et il se rhabille. Je touche mon anus, il n’y a pas de sperme qui en sort. Le trou semble si grand. Et je lui demande • Tu veux pas aller jusqu’au bout ? • Pas maintenant. On recommencera plus tard lorsque ton anus aura repris sa forme normale. • Quoi ? Tu veux recommencer ? • Tu crois que ton cul va s’habituer en une seule fois ?... Regarde dehors. Il neige, fortement. Ca nous fait rire et je lui dis "Tu dois le faire exprès. Deuxième fois que je viens et me voilà encore coincée chez toi". Et puis, c’est pas si mal que ça, on a tout de même un exposé à finir pour la semaine suivante. A peine nous sommes nous mis à son bureau que ses parents rentrent. Ils ne sont pas trop étonnés de me voir, sachant que je dois travailler avec leur fils. Par contre, ils ont préféré rentrer avant d’être totalement bloqué cette fois. La neige continuant à tomber, paralysant une nouvelle fois la ville, c’est convenu avec mes parents, je reste dormir chez Paul. C’est l’occasion de travailler, mais pas que l’exposé. Malgré la présence de ses parents, enfermés dans la chambre, nous nous déshabillons à nouveau, je me suis remise à quatre pattes. Je n’ai plus peur, j’ai confiance en lui. • Non, pas comme ça. Allonge toi sur le dos. • Tu ne vas pas me sodomiser ? • Si, mais dans cette autre position. Ils le feront aussi, pour voir ton visage en même temps. Je le laisse me ...
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