Sexe avec le Directeur
Datte: 22/08/2019,
Catégories:
Mature,
Ah Bon, vous êtes surpris ? Vous voudriez me faire croire que je ne suis pas professionnelle… Si cela peut vous soulager, sachez que je l’ai fait en dehors des heures de bureau. Je sais que cela n’a rien de catholique et je ne suis pas en train de me confesser.Cet homme me faisait envie depuis longtemps…, je me sens prédatrice en le regardant. C’est un beau mâle, à la fière allure, intelligent, charmant et avisé. Il y a plus de trois ans depuis que nous travaillons ensemble, une collaboration très fructueuse. Ajouter un plus à notre relation ne devrait certainement pas déranger. Je suis fière de bosser avec un leader aussi dynamique, qui pousse son équipe à donner le meilleur d’elle-même.Je ne suis pas amoureuse, je ne suis pas une briseuse de couple ou marchande de chatte. Je suis une superbe jeune femme qui n’a pas voulu continuer à limiter ses désirs quand l’occasion s’est présentée. Il ne m’a pas fait des avances quoiqu’il soit très attiré par moi. Qui sait, il avait peut-être peur que je me sente vulnérable, exploitée comme c’est souvent le cas dans ce genre de situations. Mon Cher, n’hésitez pas à abuser de mes rondeurs, je les courbe devant vous.Nous sommes les derniers à finaliser ce rapport pour présenter ce projet à un de nos plus grands clients. L’enjeu est crucial parce qu’il pourrait agrandir le champ d’expertise de notre compagnie et nous rapporterait gros. Il commande un souper dans un resto marocain de la ville, je nous sers du vin de notre réserve. Nous ...
... discutons pour peaufiner notre travail en appréhendant les éventuelles questions que le client pourrait nous poser. Nous avons un point en commun : nous sommes compétitifs. Alors, à chacun notre tour, nous essayons de coller l’autre. Intéressant ! On s’est lâché entre nous, l’alcool et l’ambiance aidant.Vers huit heures, la boucle est bouclée, les perfectionnistes que nous sommes étaient plus ou moins satisfaits de nos avancées. Je nettoie la table de notre petite salle de conférence, mon chemisier en soie frôle son visage… quand je me tourne, c’est au tour de mes cheveux de le caresser. Nos yeux se croisent, les désirs refoulés, les compliments et les remarques ambigus des mois écoulés ne nous ont pas laissés dupes.Il m’attire à lui en se mettant debout tout en admirant la naissance de mes seins qui bougent au même rythme que les battements accélérés de mon cœur. Une main à ma taille, l’autre entre mon cou et mes oreilles attire mon visage vers le sien. Il me penche comme pour danser un Kizomba, je me soulève avec ce mouvement pour installer mes fesses sur la table. Mes cuisses s’ouvrent en face de la fermeture éclair qui parait prête à céder au durcissement de son membre. Je caresse mes cheveux pendant que je dirige sa tête vers ma poitrine plantureuse. Il se laisse faire, ouvre un, deux boutons, me presse les seins et commence à me sucer les tétons. Il n’a plus besoin de guide, c’est un grand garçon. Je vais à la rescousse de son pénis que j’avoue avoir hâte de rencontrer ...