Justine
Datte: 23/08/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
préservati,
pénétratio,
init,
amourcach,
... partout, Justine, tout ton être me pénètre, l’odeur de ton corps tout au fond de mon nez. Le goût de ta langue qui remplit toute ma bouche, le toucher de tes seins qui s’imprime dans ma peau.Chaque endroit de ton corps, pénètre ma mémoire, tant de frissons, tant d’émotions qui entrent dans mon histoire. Justine, c’est toi qui me pénètres, plus profond, pour toujours…Et pourtant tu sais… C’est pas possible autrement. Tu sais que je ne suis pas ton Sébastien…Avant toi j’ai pu peut-être penser violer, maintenant je comprends que c’est trop peu vouloir. Je t’ai déshabillée, toi, tu m’as mis à nu ! J’ai reçu en un soir tant de leçons de toi ! Tu m’as dégoûté de l’envie de forcer.Même une fois marié, j’attendrais son plaisir, et si un jour je ne sais plus, si son corps ne répond plus, j’aimerais mieux seulement la regarder… Justine j’ai cru être rusé, pouvoir, sans ton acceptation, abuser de ton corps. Ton attitude m’a plus repris que des reproches.J’ai maintenant tellement envie de te respecter, de te remercier. J’ai mis sur toi un masque, tu m’as ôté le mien. Oui, j’ai écarté tes jambes, tu écartèles ma conscience !Puis tu t’écroules sur moi. Oh non t’es pas trop lourde ! Je sens couler mon sperme du caoutchouc flétri, tout au long de ma cuisse. J’ai peur que tu le vois. Mais reste encore, reste ainsi. Et tu le fais. Merci Justine.Tu t’apaises en jouant avec nos lèvres. Une de tes jambes glisse le long de la mienne, tu entrouvres tes cuisses et moi je relève ...
... ma jambe, elle appuie sur ton sexe, maintenant toi aussi tu me mouilles. Mais surtout n’en aie pas honte !Alors je contracte mes muscles par moment, pour que, si l’envie quitte ton ventre, ça soit tout doucement… donne-moi du temps… J’aime autant te sentir te détendre que tout à l’heure te sentir t’enflammer.Tes petits seins sont écrasés sur mon torse. J’ai même peur que ça te fasse mal. Je ne connais que si peu le corps des femmes. À cette époque pas d’internet, pas de classe avec des filles. Juste une sœur, une cousine, une culotte tout au plus. Quelques renseignements volés, pas de rubriques récits érotiques…Tu es couchée sur moi, je sens que tu t’envoles. Tu es libre Justine.Libre de m’abaisser, de m’humilier. Libre de te venger de ce fils de concierge… Je sens encore couler entre mes jambes et sur tes draps tout ce que j’ai déversé.Alors je te fais glisser de mon corps. Je me relève, je me nettoie. Je me rhabille. Toi tu ne bouges pas, étendue sur le ventre, les jambes serrées… le sparadrap sur tes yeux, je crois voir des larmes…J’éteins l’halogène. Je vais à tâtons à la fenêtre. Doucement j’enroule le volet de ta chambre, j’ouvre la fenêtre, mais tu ne bouges pas…Merci Justine… Justine n’a jamais repris avec Sébastien. Mon père et moi avons déménagé. Bien des années ont passé, mais je vois encore, bien souvent, en entrant dans ma chambre, par terre… Ta culotte, ton soutien-gorge, ton chemisier blanc et ta jupe. Justine merci d’avoir voulu ce rêve !