J'AI PERVERTIS MA COLLEGUE N° - UN TOURNANT... - Histoires de Sexe

J'AI PERVERTIS MA COLLEGUE N° - UN TOURNANT...

... laboure le cul sans ménagement, non seulement il est bien ouvert, mais en plus il lubrifie. Je ne suis pas très attiré par la relation bi, même si cela m’est arrivé différentes fois, mais là c’est particulier. J’utilise les mecs juste pour me purger, comme des trous à vidange et depuis que Fannie est entre mes mains, je n’ai pas été voir autre part, ni homme, ni femme. Pouvoir posséder le couple, c’est inimaginable, impossible… -tu as un trou bien ouvert, sale pute. R ne répond rien, il subit mes allers retours dans son fondement. Sa respiration laisse comprendre qu’il prend un plaisir, mais il reste discret dans l’expression. Je me retire et présente ma queue à sa bouche. -tu vas avaler mon jus sans perdre une goutte. Je me branle et me vide dans sa bouche. R avale tout et nettoie mon nœud. -bon, lève-toi. R se lève. -maintenant tu peux y aller, j’ai plus besoin de toi et ne t’inquiète pas, Fannie ne saura rien tant que tu feras ce que je veux. -je te remercie, j’espère que tu ne me juge pas trop sévèrement. -juger, moi, non du tout. Sois et fais ce que je veux et tu verras tout ira très bien. -mais pour les vacances ça va te poser un problème ? -du tout, allez file Fannie va t’attendre. R, je l’ai utilisé à mainte reprise en parallèle avec Fannie. Un soir après avoir bu un verre avec Fannie pour organiser nos vacances, je téléphone à R. -Salut, bon j’ai vu avec Fannie pour les vacances. -d’accord elle me racontera ça à son arrivée de toute façon. -oui, mais moi je ...

... t’appelle parce que je veux que pour les vacances tu te sois rasé la queue et le cul et que tu aille chez le coiffeur pour te faire une coupe à ras, comme moi. -quoi, pas possible, Fannie ne comprendrait pas, tu es fou. -c’est les vacances dans une semaine, tu lui expliques et ça passera. -pas du tout, j’en suis sûr, et puis mes cheveux, j’ose pas vraiment quand même, et pourquoi tu veux ça ? -parce que je le veux et tu sais très bien ce que j’ai dit dès le début. Je ne dis rien à Fannie mais fais ce que je veux. -là je ne peux pas, tu demandes trop.J’ai fait tout ce que tu m’as demandé jusqu’à maintenant, mais là ça dépasse le possible. -si c’est ton dernier mot, très bien je comprends, on se voie vendredi soir pour le départ. -oui, ça va faire du bien ces vacances. Je m’occuperais de toi tous les jours si tu veux et tous se passera bien. -oui oui tu as raison. Je crois que R ne comprends pas la situation. Dès le soir suivant, après le bureau j’invite Fannie à prendre un verre à l’appartement. A son arrivée nous discutons du départ de vendredi, elle est enthousiaste et à un moment je lui glisse sous les yeux la fiche de son mec. -tiens regarde ça. -c’est quoi ? -c’est R, il est inscrit sur un site bi et gay. -mais non, tu te trompes, il ressemble c’est tout. -ok, regarde cette photo. Je lui montre une photo de R en position à genoux, suçant une queue. -et là alors, c’est son clone ? Fannie reste sans voix. -mais, tu veux dire que R est… -il est bi, c’est tout, t’inquiète pas, c’est ...