1. D ang ling


    Datte: 23/08/2019, Catégories: Mature, Inceste / Tabou Voyeur / Exhib / Nudisme

    Ce jour fameux est resté sans suite. Ce point m'a chagriné un temps. J'aurais voulu réitérer, approfondir et aller jusqu'au bout d'un processus. Longtemps en ai-je éprouvé comme une frustration, une sorte d'injustice. Un destin cruel m'a entrouvert les portes du Paradis pour les refermer aussitôt. Puis le temps a passé. Une amie a trouvé le bon mot pour cautériser ma plaie. Elle a dit : « Au lieu de te plaindre, réjouis-toi de la chance d'avoir éprouvé cela. Les hommes ne mesurent pas leur chance.» Elle avait raison. Le bonheur avait frappé ce jour-là à ma porte.Je l'avais désiré longtemps. Je savais sa sulfureuse réputation. Je n'en voulais rien croire. La calomnie est de toutes les époques. On n'a de cesse salir autour de soi. En particulier une femme jolie attirant immanquablement la jalousie de ses paires et des hommes qui n'ont obtenu ses faveurs. Cette personne se jouait d'autant plus de cette indéfectible hostilité. Elle avait raison d'écraser de tous ses mépris ces vilains et ces grincheux. Je ne me comptais pas de ceux-là. Au contraire j'aspirais pouvoir faire partie de son entourage. Je lui témoignais le plus souvent ma sympathie.Ce qui me nuisait était ma situation en l'entreprise. J'étais au sommet de la hiérarchie et le département que je représentais était en rivalité avec celui où sévissait ma belle. J'étais symboliquement un ennemi. Un jour au détour d'une conversation je lui rapportais que de sottes choses avaient séparé les Montaigus des Capulets. De grands ...
    ... esprits devaient passer outre à ce genre de peccadille. Elle me répondit qu'il était préférable et reposant de demeurer en son camp. Perdidement elle avait éludé mon invitation. Elle ne voulait se compromettre à l'égard du groupe.Bref j'en étais réduit à l'admirer et la saluer de loin. J'en vins malgré moi à dénigrer ces petits marquis qui faisaient son ordinaire et constituaient son entourage. La rumeur alléguait que quelque-uns sûrement avait obtenu grand-chose de la belle. Ma raison avait beau se défendre du contraire, j'éprouvais déjà la morsure venimeuse de la jalousie. Je déplorais surtout qu'elle eût pu s'abandonner à des êtres si médiocres. Il est vrai que nombre d’apparences témoignaient contre elle. Elle était tout l'archétype de la coquette. Le regard de nombre d'hommes lui était un miroir.Il lui fallait sans cesse éblouir le mâle qui passait le seuil. Il fallait que celui-ci en eût la tête tournée. Il devait conserver un souvenir indélébile de l’apparition de la belle. En cela elle mettait tous les avantages de son côté. Notamment une toilette appropriée où rien n'était vraiment négligé. Ces jambes qu'elle savait magnifiques étaient souvent exposés. Le port de talons hauts exacerbait d'autant sa cambrure et ses souples fesses. Enfin une crinière noire rendait plus désirable et redoutable cette panthère. Moi-même je n'avais pu me blaser encore de cette magie..Les autres femmes s'offusquaient que cette créature put à plus de quarante ans arborer si ostensiblement la ...
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