L'université : de la soumission à la consécration (3)
Datte: 24/08/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... ça, hein ? — Oh oui j’adore ! — Salope ! répète-t-il une énième fois en lui donnant une nouvelle fessée. Puis je le vois s’adoucir, caresser ses fesses avec tendresse. Une de ses mains se glisse entre les cuisses de ma copine, vient titiller ses parties intimes, tandis que de l’autre il lui malaxe les seins. Elle ne tarde pas à gémir de plaisir. — Tu veux que je te lèche ta petite chatte ? demande-t-il. — Huuummm… oui… soupire-t-elle. A ma grande surprise, cela lui vaut une nouvelle claque retentissante sur les fesses. - Tu m’as pris pour qui ? T’as ton copain pour te lécher, salope ! Moi t’es ma chienne, t’es juste là pour satisfaire tous mes caprices. C’est clair ? - Oui, très clair, confirme-t-elle, apparemment toujours aussi heureuse de se faire maltraiter. Ravi de sa soumission, Paul attrape ma copine et la retourne perpendiculairement à nous – sans doute pour que nous ne rations rien de la scène – puis il se place juste derrière elle. Le gland de ce salopard n’est qu’à quelques centimètres de la matrice de celle que je croyais être la femme de ma vie. — Tu vas te faire baiser juste devant ton copain, sans capote, par un inconnu, résume Paul. Tu veux toujours ? — Oui ! hurle-t-elle presque, totalement dominée par le désir. — Salope… lâche-t-il une fois encore. Sur ce dernier mot empreint de tendresse et de poésie, il s’introduit en elle d’un coup sec, lui faisant lâcher un nouveau petit cri de douleur. Et comme la dernière fois, cela lui vaut une réprimande sous forme ...
... de fessée. Il lui attrape ensuite les hanches et entreprend de la baiser comme un animal. Fasciné par la scène qui se joue sous mes yeux, je me rends compte soudainement que ma sœur me regarde. Mes larmes se sont taries, et je crois bien que l’excitation a pris le pas sur tout le reste. Je bande comme un âne et, vu le regard qu’elle lance à la bosse qui déforme mon pantalon, Anna l’a remarqué. Soudain, une sensation étrange sur ma queue me fait sursauter : ma sœur vient de poser sa main dessus ! — C’est bien ce qui me semblait, lâche-t-elle, tu bandes. — Non ! J’ai bien conscience que ma dénégation est stupide et puérile, mais que puis-je faire d’autre ? Reconnaître que voir ma copine se faire baiser sous mes yeux par un inconnu m’excite ? Certainement pas ! Mais ma sœur ne lâche pas ma bite, bien au contraire. Elle déboutonne mon pantalon, fait descendre la fermeture éclair et le descend à mes chevilles. — Qu’est-ce que tu fais ? Surpris par son attitude, je ne sais pas comment réagir. — Je suis désolée, répond-elle, tout ça est allé trop loin. Je dois bien me faire pardonner, et tu vas exploser là-dedans. Sur ce, elle fait descendre mon caleçon et attrape mon sexe, ce qui me fait lâcher un râle de plaisir… et n’est pas loin de me faire tout lâcher d’ailleurs. — Chuuuut… répète-t-elle pour la énième fois. — Désolé, mais… tu es ma sœur ! — Oh ça va, je te demande pas de me faire un gosse non plus ! J’ai pas été cool et je t’en dois une, c’est tout. Ses arguments me laissent ...