Un sacré numéro, notre nièce (3)
Datte: 03/09/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... lotion solaire, rendait cette manœuvre disons, plus délicate. Et comme, cette fois, je souhaitais que Mélanie prenne vraiment son pied, je me dégageais de sa bouche si accueillante pour me placer derrière elle. — « Tu vas voir, moi aussi, je vais m’occuper de ton petit cul ! » Ma femme est une adepte de la sodomie, mais avec précaution et à condition d’y être préparée. Et pour commencer, tout en pénétrant sa chatte déjà abondamment mouillée par sa liqueur d’amour, je prends la bouteille d’ambre solaire et la renverse entièrement sur les reins de Mélanie. Ma main gauche sur sa hanche me permettait d’attirer son corps, comme pour prononcer encore mieux les mouvements synchronisés de nos bassins et ce va-et-vient ainsi pratiqué lui arrachait des petits cris de plaisir : — « oh oui, vas-y, bien profond, comme ça, hum que c’est bon, continue… ! » Bien sûr que je continuais et mieux même, puisque ma main droite, complètement huilée par l’ambre solaire, partait à la rencontre de sa rosette. D’abord, une caresse circulaire pour permettre à Mélanie de se décontracter au maximum, puis j’enfonce délicatement mon index, lentement, venant et sortant afin de bien huiler cette intimité délicate. J’essaie de coordonner mes mouvements entre mon sexe et mon doigt afin qu’il n’y ait pas une seule seconde où Mélanie ne sente soit mon dard, soit mon doigt au fond d’elle. Et visiblement, cela lui arrache des cris de plaisir et je sens son extase toute proche. Afin de ne pas aller trop vite en ...
... besogne, je retire mon doigt et, avec mes deux mains, je lui enserre les seins et joue avec les tétons devenus durs et sensibles. — « oh François, c’est trop bon. Prends-moi par derrière », me supplie-t-elle. Comment résister à un tel appel ? Et c’est ainsi que, après avoir à nouveau passé ma main sur l’ambre solaire encore bien présente sur le bas du dos de Mélanie, que j’enfonce à nouveau mon index dans son conduit encore serré. Je décide donc d’y insérer un deuxième doigt pour écarter un peu le passage qui, ma foi, sous la pression de mes deux doigts et du plaisir que cela procure à Mélanie, commence à se dilater de telle manière à permettre une pénétration aussi douce qu’agréable. Alors que je me retire de son intimité vaginale, je pointe désormais mon membre à l’orée du fruit défendu et avec une infinie précaution, mon gland s’immisce dans ce conduit si étroit que la compression m’excite encore plus. A califourchon sur Mélanie, je glisse une main en-dessous de son ventre et j’atteins sans difficulté son clitoris. Et tout en le caressant, en le pinçant légèrement, je prolonge ma pénétration anale et c’est par un brusque mouvement de recul avec son bassin que Mélanie finit par m’engloutir jusqu’à la garde, non sans lui arracher un cri de douleur avant de se transformer en cri d’extase. Dès instant, c’est elle qui imprime le rythme de nos mouvements, elle contrôle ainsi l’intensité de son plaisir tout en veillant à ne pas subir de douleurs exagérées. Après quelques instants, je ...