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Au bonheur des dames (1)
Datte: 24/08/2019, Catégories: Transexuels
Coucou revoilà votre folle de lycra Voilà ce qui m’est arrivé voilà 5 ou 6 ans. J’ai rencontré une grande blonde aux yeux bleus qui habitait en Seine-et-Marne dans une grande maison avec un gros rottweiler, dissuasif mais très affectueux. Bien qu’un peu forte du style Catherine Jacob cette dame prénommée Muriel me plaisait énormément. Nous fîmes connaissance grâce à un célèbre site de rencontre. Elle m’avait avoué avoir un petit côté dominatrice, chose qui m’a beaucoup plu, moi qui suis plutôt soumis avec les femmes. Ainsi lors de notre première rencontre elle s’était arrêtée dans les bois et j’avais eu le droit à ma première fellation de sa part. Sa prestation buccale avait été formidable mais j’étais un peu sur mes gardes car j’avais peur que l’on se fasse surprendre. Dans sa voiture en nous rendant chez elle elle avait retiré sa culotte et me l’a donner à sentir de force. Je protestait pour la forme mais je reconnais que aimer la culotte d’une femme dont on sent l’odeur du désir, il n’y a pas meilleur comme aphrodisiaque. Rapidement nous avons constaté que nous avions de nombreux atomes crochus, rapidement je me suis retrouvé chez elle est dans son lit; où nous faisions des folies. Il ne fallut pas beaucoup de temps, une quinzaine de jours, pour que Madame veuille mettre un peu de piment dans notre relation; piment qui s’est présenté sous forme de menottes, plug, gode, cravache, baillon à boule, ainsi que tous les vêtements bien sexy et moulants... Évidemment c’était moi ...
... qui était le dominé, ce n’était pas pour me déplaire. Après nos rapports assez chauds voire hards, je me promenais dans la maison tout de lycra vêtu et il m’arrivait souvent d’avoir des tenues assez féminines. Ma partenaire de plus d’un mètre 80 dt assez forte avait constaté que je pouvais rentrer dans tous ses vêtements. C’est ainsi que rapidement je me retrouvais avec un collier au cou des colliers aux chevilles que l’on pouvait joindre ensemble et je portais les robes ainsi que les jupes de ma partenaire; bref je ne débandais pas une seconde quand nous étions ensemble. Le truc qui me bloquait un peu c’est que son chien était présent partout: dans la cuisine, dans le séjour, dans la chambre; on aurait dit que ce chien me regardait me faire défoncer de partout... En attachant un peu mon attention sur ce représentant de la race canine, je le trouvais même un peu collant avec ma copine. En fait ce chien commençait à m’énerver et surtout me déconcentrer. Nous faisions ça dans toutes les pièces je me retrouvais bâillonnée la tête sous l’oreiller avec un gode à ceinture bien au fond de mon petit trou. Une autre fois j’étais assis sur une chaise, elle montait sur la table, s’allongeait et je devais lui nettoyer son petit minou... D’autres fois je devais arriver à quatre pattes dans la cuisine pour aller lui brouter son minou sous la table. Par-dessus ça je commençais à vraiment prendre goût à ce qu’elle me fasse enfiler toutes ses tenues des plus féminines. J’appréhendais désormais ...