Gaëlle et Coralie
Datte: 24/08/2019,
Catégories:
Anal
Partouze / Groupe
Sexe Interracial,
... Salut, moi c'est Marie-Laure, tu es mignon, je peux te sucer ?C'était une jolie petite blonde qui venait de m'aborder ainsi, tenant par la main un autre homme, affichant ainsi une ingénuité de collégienne à la fois fière et intimidée par son premier flirt qui contrastait avec la crudité de ses propos. Elle n'attendit d'ailleurs pas ma réponse, et se pencha de suite sur ma queue qu'elle avala avec voracité. Excité comme je l'étais, je ne tardai pas à bander comme un cerf, d'autant que la demoiselle s'y prenait fort bien. Son compagnon n'était pas en reste, il lui releva le bassin et la pénétra d'un coup de rein si brusque que j'en ressentis le contrecoup. Mais Marie-Laure ne fut pas décontenancée, elle devait avoir l'habitude, et continua de me sucer avec application en poussant des gémissements sourds. Je ne perdais cependant pas de vue Gaëlle, qui elle ne gémissait plus, mais poussait des cris sonores qui résonnaient comme un orgue de cathédrale. Son premier baiseur venait d'éjaculer en elle, mais à peine se fut-il retiré que son alter ego le remplaça en glissant sur le sperme chaud. Cette vue me stimula encore, et je demandai au compagnon de Marie-Laure d'intervertir nos rôles. J'investis avec plaisir sa petite chatte étroite et juteuse, et je me mis à la limer furieusement sans cesser de mater ma femme en train de se faire prendre. J'éjaculai assez vite, mais j'étais tellement excité, et le vagin de Marie-Laure se contractait tellement bien autour de ma queue, que je ne ...
... débandai pas tout de suite et que je pus continuer à la pénétrer un moment. Puis, je laissai ma place, et Marie-Laure me reprit dans sa bouche et ne tarda pas à me rendre ma vigueur.Gaëlle enchaînait à présent les amants sans discontinuer, dans une véritable frénésie de plaisir, offrant indifféremment son cul ou sa chatte à tous ceux, assez nombreux maintenant, qui l'entouraient en attendant de pouvoir investir le premier orifice à se libérer pour s'y vider les couilles. Mais cela ne suffisait plus à calmer sa transe. Elle allongea Mourad sur le canapé, s'empala derechef sur son pieu, et d'un geste indiqua à l'un des hommes autour d'elle de l'enculer. Mon fantasme se réalisait, je voyais ma femme prise en sandwich et hurler son plaisir, en redemander encore. Je laissai Marie-Laure à son compagnon, et m'approchai pour mieux voir l'arrière-train de Gaëlle transpercé en cadence par deux belles bittes qui glissaient dans la cyprine et le sperme déjà déposé avec un rythme endiablé. Soudain son enculeur se figea en grognant, et se retira, laissant derrière lui un long filet argenté qui coula de l'anus grand ouvert de ma femme sur la bitte de Mourad qui la pilonnait de plus belle. A cette vue, je n'y tins plus. Je pris de vitesse le type qui s'apprêtait à s'emparer de ce trou laissé vide, et y enfournai ma verge. Quel délice ! Le cul de Gaëlle était merveilleusement brûlant, étroit, humide. A chaque coup de rein, ma bitte s'enrobait du sperme encore chaud laissé par mon prédécesseur, ...