1. Ma drole de famille (25)


    Datte: 25/08/2019, Catégories: Zoophilie,

    Julie devient blême, j’ai peur qu’elle ne perde conscience, mais il n’en est rien. –Alors les filles, en forme à ce que j’ai pu voir. –Tu es là depuis longtemps ? -Je suis arrivé juste au moment où vous alliez voir Léonard. Je dois dire que de vous voir à poil toutes les deux m’a laissé un peu perplexe, je vous ai donc suivi en douce, même Hector m’a laissé tranquille, il se léchait la bite dans un coin. Je dois dire que j’ai adoré suivre ces deux superbes culs qui marchaient devant moi. J’ai passé tout mon temps à côté du box de Léonard à apprécier le spectacle. –Tu es resté à nous regarder comme ça ? –Oui, et tu es même passée à un mètre de moi sans me voir. Mais je dois dire que le spectacle de deux femmes se faisant baiser et enculer par un âne, ça dépasse l’entendement. –Ecoute Jacques, je suis majeure et vaccinée, et je fais ce qui me plait. –Là n’est pas la question, mais voir sa sœur et sa fille se faire culbuter par un âne, avoue que ce n’est pas banal. Ceci dit, tu as raison, vous êtes majeures et vous pouvez faire ce qui vous plait. –Julie, tu bois quelque chose ? –Un grand whisky sec s’il te plait. Elle prend sa jupe pour l’enfiler quand Jacques intervient. –Tu peux rester comme ça chérie, Laure aussi d’ailleurs. Je dois dire que tu es magnifique ma fille, j’aime bien ton pubis glabre, c’est Laure qui t’en a donné l’idée ? –Oui, mais rester comme ça, nue devant mon père, ça me fait bizarre. –Qu’à cela ne tienne. Jacques se lève et en une minute il est nu et assis ...
    ... dans son fauteuil. Je remarque que sa bite est un peu tendue. –Viens t’assoir en face de moi. Je sers les alcools, grand whisky pour Julie et énorme whisky pour moi. Nous buvons deux ou trois minutes en silence. Jacques nous regarde. –Qu’avez-vous éprouvé à vous faire besogner par un âne ? –Avoir une si grosse queue dans la vulve ou l’anus est quelque chose d’incomparable, surtout si tu aimes les grosses bites comme moi. –Mais ça ne t’a pas déchiré de te faire sodomiser par une telle bite, j’avoue que je n’en suis pas revenu. Quand il s’est enfoncé en toi, j’ai cru que tu allais hurler de douleur, au contraire, j’ai eu l’impression que tu étais heureuse et sereine. –C’est exactement ça, heureuse et sereine, je savais que je pouvais le faire, je me suis mis des godes bien plus gros dans le cul. –Tu aime te faire sodomiser ? –J’adore. –J’avoue que je n’ai jamais essayé, mais je ne désespère pas d’y parvenir un jour. Au fait, tu as eu Laurent ? –Oui, mais il y a un énorme problème me concernant. –A bon, lequel ? –J’ai eu une discussion à ce propos avec Laure et ce qu’elle m’a appris est assez renversant. –Allez, au fait. –Laure est ma mère. –Quoi ? –Tu plaisante ? –Lucienne n’était pas ma mère, c’était ma grand-mère, ma mère, c’est Laure et mon père Henri. Je suis la sœur ainée de Michel, Aline et Paule. Tu n’es pas mon frère, et tu n’es pas ma nièce. Je les regarde, ils ont l’air abasourdis. Julie boit une grande rasade de whisky, Jacques me regarde. –D’un côté, je perds deux ...
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