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Claudia, ma meilleure amie devenue salope (4) (partie 1/2)
Datte: 25/08/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... atomique par-dessus le marché. Elle continue à me branler lentement, avec douceur en fixant ma queue, l'air concentrée. Elle fait des petites torsions avec ses poignets et mon pénis palpite. Mes doigts ne semblent pas lui faire beaucoup d'effet et ça m'agace. Alors je la retourne d'un coup. La plaque contre le mur en métal et me colle à elle, la queue contre sa jupe et les fesses incroyablement bombées qu'elle cache. Elle se met à respirer fort et pendant une seconde elle essaye de se dégager. Mais elle s'arrête aussitôt que ma main atteint son tanga. Je m'engouffre dedans et la découvre totalement trempée, ardente et suintante d'excitation. - Tu essayes de pas faire la fille facile mais t'as l'air d'aimer ça pas vrai, lui dis-je à l'oreille. Je me surprends moi-même par mon langage mais ça a l'air de l'exciter puisqu'elle tremble en se cambrant d'un coup. Je caresse son entrejambe, essayant de déterminer qu'est ce qui est quoi dans ce tourbillon de mouille et de chair brûlante. L'alcool et la substance pris plus tôt ne m'aide pas non plus. En tout cas elle a l'air d'aimer. Elle écarte alors les jambes et attrape ma queue en passant la main entre ses cuisses. Elle me tire en avant et referme les cuisses sur ma queue qui se retrouve coincé contre son tanga trempé. Avec ses grosses fesses frottant mon pubis je me retrouve comme possédé et je commence des vas et vient entre ses cuisses, glissant aisément grâce au torrent qui dégouline le long de ses jambes fuselées. Je l'attrape ...
... par les bras et les tire en arrière pendant que ses seins sont écrasés contre le mur et que ma queue frotte sa chatte à travers le tissu. Elle passe de respiration accélérée à gémissements incontrôlés. - Alors t'as bel et bien une langue, lâché-je dans un souffle. Je continue à la caresser et lui lâche les bras pour attraper ses larges hanches. Ma queue dépasse encore suffisamment pour qu'elle puisse la branler avec une de ses mains. L'autre a disparu dans son chemisier et je crois qu'elle se caresse les seins. Je crois qu'elle a un orgasme, car ses gémissements se transforment en râles. Ses cuisses se mettent à trembler et elle glisse au sol à genoux. Je ne sais pas trop quoi faire. Elle relève les yeux et voit ma verge toujours tendue vers le ciel, les veines gonflés et palpitante. Elle commence alors à me branler encore, sa main refermée le long de ma bite, elle glisse avec une lenteur qui m'insupporte. A son sourire je comprends qu'elle fait exprès de faire durer le plaisir, pour me tenir en son pouvoir. Je commence à mettre des petits coups de reins en avant, ma bite de pierre échappant presque à sa main pour venir cogner la commissure de ses lèvres et elle comprend que je veux qu'elle accélère (bon en fait j'aimerais surtout avoir sa bouche rose vif autour de ma bite). Elle accélère donc sa branlette, et au bout de quelques minutes je sens que j'approche de ma limite mais que je ne peux pas finir dans ces conditions. - Montres moi tes seins, lui ordonné-je. Elle hésite ...