1. Vacances... (2)


    Datte: 26/08/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... mais c’est elle qui a pris l’initiative, non ? Puis les relations incestueuses ne me font plus peur maintenant ! Quand Annie veut descendre mon short sur les chevilles, je m’empresse de l’aider… Elle se place à califourchon en me tournant le dos, reprend la verge frémissante et la porte à ses lèvres. Oh sa langue !… Je ferme les yeux sur mon plaisir. — Relève ma robe, s’il te plait. Machinalement j’obéis. Le splendide fessier attire mon regard… Et mes doigts. — Caresse-moi Papy, tu sais faire ? Oui, ça je sais ! Je tire sur son bassin pour le rapprocher de mes lèvres… Annie est une experte en sucette, sachant allier léchage de la tige, du gland et pénétrations dans la bouche. Elle sent quand la jouissance monte et la ralentit par de douces pressions à la base de la hampe. De mon coté je ne suis pas en reste et déploie toute ma science pour amener ma petite-fille à l’orgasme. Je suis tout fier d’y parvenir avant de lâcher prise. A la fin n’y tenant plus, je veux me retirer, mais elle n’est pas de cet avis. — Hon ! Hon ! Elle me tète jusqu’à ce que j’éjacule dans sa bouche. Elle déglutit soigneusement et termine par un léchage coquin du gland et de la tige. Reprenant place à mes cotés sur le canapé elle m’interroge. — Alors Papy ? Tu es calmé ? — Ben toi alors ! Tu peux dire que tu m’en bouches un coin ! Où as-tu appris ces vilaines choses ? — Ça t’a pas plu ? — Oh si ! C’était… C’était merveilleux… Merci ma chérie… Merci. — Tu n’étais pas mal toi non plus, j’ai rarement autant ...
    ... joui dans un 69. Je me lève péniblement. — Où vas-tu ? demande Annie. — Chercher à boire, n’as-tu pas soif ? — Si mais reste ici, je sais où se trouvent les boissons. — Merci, sers-moi un pastis bien corsé, dis-je en me rasseyant, j’en ai besoin. La jeune fille fait le service et ouvre pour elle une boite de coca… — Ah ! Ça fait du bien, dit-elle en essuyant la bouche du revers de la main. — Oui, ça fait du bien… Dis, tu m’excuseras d’insister mais je ne veux pas que tu fasses du mal à ta mère. — Sois tranquille Papy, je l’adore Maman et il n’est pas question qu’elle souffre par ma faute, surtout maintenant que nous nous sommes trouvé un point commun. — Ah ? Lequel ? — Ben notre goût pour les caresses féminines ; car je t’assure, elle a apprécié hier. — C’est ce qu’elle m’a dit. Mais je t’en prie soyez prudentes. Il ne faudrait pas que cela parvienne aux oreilles de ton père. — Oh Papa ? J’en fais mon affaire, d’ailleurs il n’a rien à dire. — Pourquoi ça ? — Parce que il me saute lui aussi. umvuiiop — Oh ! — Ça te choque ? — Euh… Non, tu fais ce que tu veux, tu es majeure… Euh… J’espère que tu étais majeure quand ça a commencé, n’est-ce pas ? — Tout à fait ! C’est même le cadeau qu’il m’a fait pour mes dix-huit ans. — Ton cadeau ? Ce n’était pas plutôt un cadeau pour lui ? — Non, non je t’assure c’est un vrai cadeau qu’il m’a fait… Tu sais Papy, je n’étais déjà plus vierge, deux ans de cela que j’avais perdu mon pucelage. Mais les garçons me décevaient : Pout ! Pout ! Pout ! ...