Ma femme Sophie se libère (suite 3)
Datte: 26/08/2019,
Catégories:
Hardcore,
... avec les fesses à l’air ? dit-elle en me souriant.— J’aurais bien aimé.Sophie rit de ma réflexion avant de poser ses lèvres sur les miennes. Ce baiser est furtif et elle se dirige vers la porte d’entrée. Au moment de passer devant le guéridon, elle se retourne et me regarde en faisant glisser sa main dessus tout en se léchant ses lèvres. Je crois que j’ai oublié ma véritable femme au restaurant, ce n’est pas possible.Alors que je la rejoins à notre voiture, je me dis qu’il faut que je trouve quelque chose pour remercier mes beaux-parents. S’il n’avait pas accepté de garder notre fils, jamais ma vie ne se serait transformée ainsi.Après trois quarts d’heure de route, nous voilà arrivés. Tout juste garés, nous sommes accueillis par Marie, la mère de Sophie qui tient dans ses bras notre petit Théo. Son visage s’illumine à la vue de sa mère qui descend de la voiture. Sophie se précipite vers lui et le prend dans ses bras. Elle couvre sa tête brune de baisers avant de se tourner vers sa mère et lui faire la bise.— Bonjour maman. Théo a été sage.— Un vrai petit ange. Bonjour Patrick.J’embrasse à mon tour ma belle-mère. Après avoir raconté sommairement comment Théo s’était comporté, Marie nous invite à aller sur la terrasse. Sophie s’étonne de l’absence de son père.— Pierre est passé ce matin. Tu les connais ces deux-là, dès qu’ils sont ensemble, ils se mettent à parler chasse et plus rien ne compte. Ils sont partis en forêt il y a une petite heure pour contrôler l’état de leur ...
... cabanon en me laissant seul avec Théo.— Je suis désolé.— Oh ! Tu n’as pas à l’être, ce n’est pas parce qu’il était là qu’il m’a aidé à m’en occuper. Et j’ai envie de dire tant mieux. Mais assez parlé de ton père, avez-vous passé une bonne soirée ? Je dirais que oui en te voyant.La réflexion de sa mère fait monter le rouge aux joues à Sophie.— Pourquoi dis-tu ça ?— Parce que ça fait bien longtemps que je ne t’avais pas vue si rayonnante. Depuis la naissance du petit, je dirais.Sophie se détend un peu.— Oui, c’est vrai, notre petite sortie au restaurant a été forte agréable.— Cela faisait trop longtemps que vous n’avez pas fait quelque chose rien que vous deux. Tu dois te rappeler, Sophie, que même si tu es devenue une mère, tu restes aussi une femme.— Je n’arrête pas de lui répéter, mais je crois que grâce à vous elle a enfin fini par m’entendre.Je pose ma main dans le dos de ma femme et le caresse tendrement. Vendredi encore un tel geste aurait fait s’adosser Sophie contre le dossier de la chaise pour me forcer à m’arrêter, pour que je ne montre pas expansif en public, et surtout pas devant sa mère, mais en ce dimanche midi, Sophie ne fait rien et profite de ce que je lui fais.Ainsi tous réunis, nous passons un agréable repas. Marie nous a mitonné de délicieux plats que Sophie et moi savourons avec délice. Enfin, nos estomacs sont pleins, enfin, nous pouvons récupérer de nos excès de débauche.Alors que nous savourons une glace faite maison, Marie fait une offre qui me ravit.— Vous ...