1. Marie et le sculpteur aveugle (2)


    Datte: 26/08/2019, Catégories: Erotique,

    ... même remettre mon short. C’est tellement plus confortable. Et puis le t-shirt est assez long et couvre une partie de mes fesses et y’a personne pour me voir de toute façon. Il prépare tout et me laisse devant le gros morceau de glaise molle et informe, une spatule à la main. Je ne sais pas quoi faire. « Tout d’abord, tu dois dégrossir, vas-y » Je suis tellement timorée qu’après cinq minutes, je n’ai pratiquement rien enlevé. Il palpe alors la masse de glaise et soupire. « Bon, pousse-toi un peu » Je me lève du tabouret. « Non. Reste assise mais avance-toi sur le tabouret » Je suis surprise. Il s’assoit derrière moi... et m’enlace de ses bras puissants. Il saisit ma main droite. « Tiens bien la spatule et laisse allez ton bras; je vais sculpter et tu ressentiras tous les mouvements » Je le vois faire, je le sens faire, je ne suis plus qu’une avec lui. Je ressens un sentiment d’osmose à la fois technique et sensuel. Il se colle à mon dos et m’enserre de ses bras. Sa tête est collée contre la mienne au-dessus de mon épaule. Je sens son souffle. Je suis à nouveau très excitée par cette situation. Un rapport maitre à élève, un sentiment mélangé de protection et de vulnérabilité et…de soumission. Sa main droite enlève des morceaux de glaise, tandis que la gauche palpe constamment les formes pour s’assurer du résultat. Il maitrise tellement bien son art que je me sens toute petite. « on, tu as compris ? Vas-y maintenant. Je garde la main sur la tienne mais c’est toi qui imprime le ...
    ... mouvement » Je m’exécute, maladroite d’abord, puis un peu plus sûre de mes gestes ensuite. Sa main gauche vérifie en permanence mon travail. « C’est bien, tu arrives à quelque chose... maintenant, tu dois prendre les mesures plus précises de mon visage. » Il repart sur son siège, me laissant pantelante et la chatte humide qui colle au tabouret en bois comme une limace... Pour la première fois, je vais le toucher... Je pose mes mains sur son visage et le palpe, cherche à appréhender les proportions. Sa peau est plutôt rêche et la chaire est un peu molle. C’est tellement sensuel que je respire fortement et mes mains tremblotent. Les heures passent, le visage prend forme. On fait des poses et j’en profite pour piquer une tête dans la piscine et revenir sans même remettre mon T-shirt tant la chaleur est étouffante dans l’atelier. Je suis autant excitée qu’appliquée à construire ce visage. Ce qui m’excite le plus, c’est de me demander s’il va de nouveau s’assoir derrière moi sur le tabouret…et découvrir que je suis complètement nue. Mais soudain, il me dit que c’est bon pour aujourd’hui. « On continuera demain, je dois rappeler des clients » Un peu déçue mais comme je n’ai presque plus rien à manger, je décide d’aller moi-même me ravitailler à l’épicerie la plus proche. LE FRÈRE PEINTRE J’enfile mon jean trop large à grosses bretelles et un t-shirt. Les bretelles sont superbes et bien utiles : elles tiennent le froc et en même temps cachent mes tétons qui pointent au travers du ...
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