Roide mouvie
Datte: 26/08/2019,
Catégories:
fh,
inconnu,
poilu(e)s,
amour,
Oral
fsodo,
aliments,
humour,
... bon ! J’avais oublié qu’il y avait des points aussi sensibles sur mon corps. Quand tu as posé tes lèvres sur mon sexe, j’ai cru exploser ; mon ventre s’est liquéfié. Il hocha la tête, affirmatif. — J’ai eu honte aussi.— Pourquoi ?— Tu as dû le remarquer, je suis assez… touffue. Je ne m’épile pas, je ne suis pas comme certaines femmes toutes lisses.— La seule chose qui m’ait marqué, c’est que c’est tout doux. Comme une jolie petite bête, un alpaga.— De l’alpaga ?— C’est un animal que j’adore. Dans la cuisine, Jan murmurait : — C’est la plus étrange déclaration d’amour que j’ai jamais entendue.— Ils sont si mignons…— J’espère simplement qu’il ne va pas lui dire que son alpaga lui a craché au visage.— Impossible d’être sérieux trente seconde avec toi, ronchonna Marie en lui flanquant une tape sur les fesses. Heureusement, les deux parents n’entendirent rien de cet aparté. — En tout cas j’ai apprécié, répondit Nathalie. Rougissante, elle semblait presque regretter de l’avoir avoué. Sylvestre avait la voix enrouée lorsqu’il lui dit : « Tout le plaisir était pour moi. » Pour libérer un peu la tension, il tenta de reprendre la conversation : — On en tenait une bonne !— Ce n’est pas fini : tu m’as mordue, dit-elle en montrant son épaule. Il pouvait voir des traces de dents. — J’étais à genoux sur le canapé ; tu étais derrière moi, tu me tenais par les hanches et tu me bourriquais. Tu disais que tu étais mon grand loup, ma Bête des Vosges, et tu poussais de grands « Ahoouu ! »— Oh ...
... non, c’est pas vrai ! La Bête des Vosges…— Je dois t’avouer quelque chose : je n’avais plus jamais fait l’amour depuis la naissance de Marie.— Ah bon ? dit-il d’une petite voix. Il repensa aux toiles d’araignées. — Je ne regrette pas de t’avoir rencontré. J’ai vraiment aimé ce que nous avons fait. Je n’étais pas aussi saoule que ça. Elle semblait tout intimidée en le confessant. — Moi non plus. Je me souviens même de te voir assise sur moi, te secouant en tous sens en criant « Encore, encore ! »— Toi, tu répétais en boucle « Nathalioui, Nathalioui… »— Marie ? Il faut vraiment qu’on les surveille. De véritables ados.— Ils commencent à me courir sur le haricot, nos deux petits morpions, là.— Tu m’as dit que tu collais comme un papier tue-mouche ; voudrais-tu venir prendre une douche avec moi ? minauda Nathalie.— Euh, pourquoi pas ? À ce moment-là, Marie sourit en les voyant partir vers la salle d’eau et secoua la tête. — Qu’est-ce qu’on va faire de vous ?— Ils sont pénibles, mais ils tiennent encore la forme pour leur âge ! Il lui sembla percevoir de l’admiration dans la voix de son fils. Avant d’entrer dans la salle d’eau, il lança à Jan : — Tu seras un homme comblé mon fils, et j’espère que je serai bientôt un jeune papy heureux.— Tu ne crois pas si bien dire… lui répondit Marie. Il oublia vite ces propos sibyllins alors que Nathalie l’enduisait de savon. Dans son idée, la douche n’était qu’un prétexte. Avec le gel douche, elle entendait bien continuer ce qu’elle avait entrepris ...