Clémence
Datte: 27/08/2019,
Catégories:
f,
fagée,
cérébral,
Masturbation
fist,
... vagin, caresse les lèvres pendantes et grasses, les écarte, les pince, les fait rouler entre elles. Puis délicatement, elle glisse vers son anus. Sous ses doigts elle sent l’anneau culier, large et fortement plissé. Elle en fait le tour avec le bout de son majeur, et passe de temps en temps sur l’entrée de son anus. La sensation qu’elle éprouve alors lui lance de grands frissons dans tout le ventre, jusqu’au bout de son clitoris qui se redresse encore plus et durcit sous ses doigts qui le masturbe toujours. Du bout de l’ongle elle écarte l’entrée de son anus. Tout mouillé, le doigt pénètre, est aspiré par le boyau culier. Elle sent autour de son doigt l’anneau se refermer, se serrer et s’écarter au rythme de sa respiration qui se fait de plus en plus haletante. Elle imprime au doigt un nouveau mouvement de piston et pénètre de plus en plus loin dans son cul. La sensation de plaisir monte au fur et à mesure. La main qui branle le clitoris accélère. Le doigt entre de plus en plus loin. Maintenant Clémence ahane. La jouissance monte, envahi ses reins, son ventre, son clitoris, son cul. Elle lâche un long jet de mouille, une glaire gluante et épaisse qui sort de sa chatte, vient encore plus lubrifier son doigt qui glisse de plus en plus loin dans le trou de l’anus. La cyprine est aussitôt remplacée par un long jet de pisse, chaude qui asperge son poignet, mouille ses cuisses et se répand sur le fauteuil, la robe de chambre et le tapis. Clémence se tord de plaisir. Sa respiration ...
... est de plus en plus sifflante, elle crie de plaisir et son cœur bat la chamade. Clémence, sous la force du plaisir, les doigts frottant de plus en plus fort le clitoris qui bande et qui lui fait mal parce qu’il est trop tendu, a profité du soulèvement naturel de ses fesses, sous l’arc du plaisir, pour s’enfoncer deux autres doigts dans l’anus. L’anneau s’est largement ouvert pour accueillir un nouveau compagnon de plaisir et Clémence leur a imprimé un va-et-vient rapide et profond, qui lui fait toucher le fond de son cul, buttant contre une masse molle. Sa respiration n’est plus qu’un halètement. Son cœur bat à tout rompre. Le plaisir la fait décharger une fois encore sur ses mains et son fauteuil. Elle éjacule. De la cyprine gluante et odorante, de la pisse chaude et les muscles de son anus semblent vouloir lui broyer la main. Dans un grand sursaut de jouissance, seules les épaules et le bout des fesses touchent le fauteuil. Clémence est tendue, le dos en arc de cercle. Elle pousse un grand cri de plaisir, ferme les yeux et retombe sur le fauteuil, une main au doigts glissés dans l’anus, une main masturbant son clitoris, rouge et bandé de plaisir, la robe de chambre trempée de mouille et d’urine. Elle ne respire plus. Le cœur vient, dans un ultime sursaut de plaisir, de cesser de battre. C’est ainsi que l’infirmière trouvera Clémence, le lendemain matin. Devant une âtre où les braises finissent de se consumer, Clémence, les yeux fermés, un léger sourire sur les lèvres, une ...