1. Nouvelle chance


    Datte: 28/08/2019, Catégories: fh, vacances, bateau, amour, Oral pénétratio, fantastiqu,

    ... vent. Je le récupère et nous poursuivons notre navigation tranquillement, Catherine allongée sur le plat-bord, la tête sur mes genoux ou appuyée contre moi. Nous échangeons de nombreux baisers et nos caresses sont de plus en plus appuyées et exploratrices. Vers deux heures de l’après-midi, nous décidons d’aller mouiller le bateau près de la plage au Sud de l’île ; la marée a monté et il y aura assez d’eau. Une fois l’ancre jetée, j’affale grossièrement les voiles et me rends à l’avant pour assurer le mouillage. Catherine, elle, a disparu dans la petite cabine. — Frank, tu viens ?— J’arrive ! Je la découvre en train de se déshabiller : elle est en slip et soutien- gorge ! — On va se baigner ?— Mais non, l’eau est trop froide ! Je m’approche d’elle et la prends dans mes bras. Je sais ce qu’elle a dans la tête ; elle m’a déjà fait le coup dans le passé… Non, dans le futur ! Je la renverse délicatement sur la couchette double à l’avant du bateau et, après avoir embrassé son visage et son cou, j’explore toutes les parties de son corps. Je décroche l’agrafe du soutien-gorge et découvre ses seins, très petits, d’une blancheur éclatante ; ils contrastent fortement avec son bronzage. Je prends ses mamelons rose clair dans ma bouche ; je la sens se raidir et repousser ma tête vers son bas-ventre. Mes lèvres courent sur ses cuisses et sur le tissu de sa culotte en coton blanc que j’écarte avec mes doigts. Sa toison très blonde est presque transparente ; je distingue très bien les ...
    ... lèvres ciselées de son sexe que j’embrasse délicatement. Après m’avoir repoussé, elle enlève son sous sous-vêtement, puis écarte les jambes dans une invitation sans équivoque. Je me déshabille rapidement et m’allonge sur elle en l’embrassant à nouveau. Nos corps s’imbriquent. Je la pénètre doucement tandis que ses jambes s’enroulent autour de ma taille. Son odeur – un mélange de parfum de luxe et de brise marine – m’enivre, et c’est avec lenteur et délicatesse que nous faisons l’amour. Mes mains se glissent sous ses fesses que j’emprisonne fortement ; je sais qu’elle aime cette caresse. Finalement, je sens son corps se tendre, ses membres serrer mon corps avec ardeur dans un long soupir. Je jouis moi aussi et roule à côté d’elle. Un peu plus tard nous sommes sur le pont, allongés sur le cockpit en train de fumer la « cigarette d’après ». On est un peu gêné et on ne sait pas quoi se dire. — C’est drôle, mais je n’ai pas l’impression d’avoir fait l’amour avec toi pour la première fois. Être avec toi, c’est naturel.— … Il faut rentrer, la marée descend !— Tu as raison.— Il faut faire vite ou on ne pourra pas rentrer au port, lui dis-je en me précipitant vers l’avant du bateau pour relever l’ancre. —ooOoo— Nous sortons de la crêperie presque en zigzaguant. Catherine, accrochée à mon bras, rit sans discontinuer ; elle est un peu saoule. Nous avons accompagné les moules-frites avec une bouteille de muscadet et la tête me tourne, à moi aussi. Heureusement, un vent frais souffle encore et ...
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