1. Septembre, ses couleurs douces et ses surprises


    Datte: 28/08/2019, Catégories: f, ff, fépilée, jouet, init,

    ... respiration saccadée trahissait autant ma peur que le tremblement de ma main. Son doigt commençait à venir en moi, délicatement, comme pour me donner le petit coup de pouce qui me manquait. Je me lançai à l’assaut de cette colline ; j’y posai mes doigts, doucement. Elle semblait si délicate. Je découvris les parcelles de cette peau si particulière. Isabelle avait fermé les yeux et commençait à écarter ses cuisses. Un petit clapotis me rassura quant à son état. Elle devait être certainement trempée elle aussi. Mes doigts parcouraient ce petit monticule parfois avec la pulpe, parfois avec l’arrière de la main. Isabelle respirait beaucoup plus bruyamment maintenant et son ventre se soulevait d’une manière beaucoup moins régulière. J’essayai de m’avancer un peu plus pour voir l’objet de mon désir, mais j’étais coincée par la main d’Isabelle qui allait et venait en moi. Elle sentit cette gêne. — Enjambe-moi ; tu pourras profiter de la vue et tu auras tes deux mains libres. Je ne me fis pas prier. Dès que son doigt fut en dehors de mon sexe, je passai une jambe par-dessus son ventre. Avec douceur et patience, elle m’invita de ses mains à me reculer un peu. Je sentais maintenant ses seins sur l’intérieur de mes cuisses. J’étais ouverte, je le sentais, et ce n’était pas forcément la position la plus agréable à ce moment. — Reprends ta caresse, c’était très agréable. Et surtout profite ; nous avons tout notre temps. Moi, je me régale de la vue. En disant cela, elle posa une main sur ...
    ... une fesse et je sentis son majeur reprendre possession de mes lieux humides. Avec la position, son doigt me pénétra bien plus profondément que tout à l’heure et mon souffle en fut coupé quelques instants. Je reposai ma main sur sa peau, caressai cette douce colline. Mon visage était maintenant bien au-dessus de son sexe. Ses cuisses étaient ouvertes, son sexe était lui aussi ouvert, luisant, ruisselant même. J’hasardai un doigt sur son genou, le fis remonter tout l’intérieur de sa cuisse. — Oui… C’est trop bon, ça… soupira-t-elle. Elle en profita pour revenir à la charge dans mes entrailles. Son majeur était le maître de mon plaisir, elle lui faisait découvrir les parois de mon vagin dans de délicieux jeux de pénétration. Je continuai à remonter et arrivai en haut de la cuisse en effleurant sa peau. La vue que j’avais était parfaite, je pouvais profiter de ce spectacle hors du commun, du moins pour moi. Je pouvais caresser son corps ; tout en elle était parfait. Son intimité était belle et bien trempée. Mon visage n’était pas très loin de sa corolle, ouverte. Elle sentait bon. Je fermai les yeux pour ne plus voir ce que j’allais faire. Je laissai mes doigts vagabonder. Ils étaient sur le pli entre sa cuisse et sa vulve. J’avais peur de mes gestes. J’entamai un tour de son sexe. Je parcourus sa peau, centimètre après centimètre, découvris sa douceur. À mi-chemin, j’avais deux doigts sur son périnée et, fascinée par son absence complète de poils, je détaillai ce sexe à la fois ...
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