1. J'attire tout ce qui a une queue qui pend entre les pattes. (4)


    Datte: 28/08/2019, Catégories: Zoophilie,

    Heureux de cette promesse, Stefan voulut achever de se pignoler. - Je vais juter là. - Non attends. Le cheval t’empêche d’approcher. Je veux que tu jutes sur moi. Attends. - Bon ben faut que j’arrête de me toucher.... j’espère qu’il va faire vite. - Oh pour ça, c’est pas sûr. Je le connais bien Marbrac ! C’est un chaud lapin si on peut dire... Il saute sur tout ce qui bouge, la preuve...hein Madame ? L’interruption du maire avait un peu coupé mon orgasme, du moins en avait-il stoppé partiellement les bienfaits, mais le cheval n’en avait cure et continuait à me bourrer. Désormais, j’étais bien habituée à sa longue et grosse pine et je remontai aussitôt au septième ciel quand je fus plus détendue. Le poney arriva enfin au bout. Comme la veille, ses mouvements s’accélérèrent, son souffle se précipita et il fallut à notre intendant beaucoup de dextérité pour maintenir ses assauts afin qu’il ne me perce pas trop et ne vienne pas m’écrabouiller les ovaires. Au dernier moment je sentis un mouvement violent de sa bite, comme si elle remontait en l’air tout en se gonflant à l’extrême et, lorsqu’ il éjacula, j’en perçus toutes les pulsations qui m’échauffèrent les sens jusqu’au délire. Déjà la veille, sur mon visage, j’avais remarqué la puissance de ses jets, mais là, j’eus carrément l’impression de me faire décaper au karsher. La pression fut énorme et j’éprouvai, en même temps que mon vagin se remplissait au fur et à mesure des jets qui n’en finissaient heureusement pas, la ...
    ... sensation du liquide chaud qui s’échappait et s’écoulait de ma chatte vers mon trou du cul. On aida le cheval à se retirer. - Allez-y, c’est à vous. - Ah non, j’vais pas là dedans, c’est dégueulasse. Y’a plein du foutre du canasson. - Comme vous voulez. Moi j’y vais ! Alors mon futur époux me pénétra. La queue rentra toute seule mais je ne ressentis pas grand chose. L’engin ne supportait pas la comparaison avec le bourrin qui m’avait bien élargie. Spontanément, notre maire-régisseur vint m’offrir sa gaule. Elle était vraiment très grosse, très épaisse avec un prépuce agréable à décalotter, et du poil très dense et très noir, particulièrement sur les couilles. Il sentait la transpiration et un peu la pisse. C’était une vraie fragrance d’homme. Mon mec éjacula à grand renfort de jurons. - T’es la meilleure des putes que j’ai jamais vues... c’est trop bon. Comme j’ai la chance de t’épouser. - Monsieur a raison et Madame a de la chance aussi d’épouser un homme aussi compréhensif et généreux. Pour toute réplique, je cessai de le sucer et lui dit : - Enculez-moi ! Je n’attendais pas de réponse. Je me mis sur le ventre, les pieds bien au sol, les jambes écartées, le trou offert. Aussitôt je ressentis la pression du gland sur la rosette. C’était gros, trop... ça ne rentrait pas, malgré les efforts du mec. - Lubrifiez ! Il cracha dans ses mains, astiqua son nœud et recommença... mais sans succès. - Lubrifiez mieux ! - Mais comment ? - Dans la chatte, y’a toute la crème qu’il vous faut. Le ...
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