Le récit angoissexy de Lioubov (1)
Datte: 28/08/2019,
Catégories:
Divers,
... parole, la bouche s’ouvre, dévoilant de petites dents triangulaires semblables à celles des requins. Elle m’interpelle : — Alors c’est vous qui effrayez les enfants ? — Oh, c’était juste une plaisanterie… — Une plaisanterie, peut-être, mais de fort mauvais goût ! — Attendez, je vais vous expliquer. Entrez ; vous avez bien cinq minutes ? Elle me précède dans le living et s’installe sur le fauteuil que je lui désigne. Je m’assieds sur le canapé qui lui fait face. — Vous boirez bien quelque chose… — Non, merci. J’attends vos explications. Je me verse une lampée de Chartreuse verte dans un verre à liqueur et m’absorbe durant quelques secondes dans la contemplation de l’alcool. — En fait, ces gamins se sont permis de dérober la citrouille que j’avais sculptée. J’ai voulu leur donner une leçon. — Vous vous y êtes pris plutôt mal ! C’est vrai que je les ai un peu brusqués, ces gamins. J’avale une gorgée de Chartreuse pour me donner une contenance ; lorsque je repose mon verre, je constate que mon interlocutrice a adopté une posture plus décontractée : bien calée contre le dossier, elle a croisé les jambes. — Ce n’était pas très habile de votre part, reprend-elle. — Peut-être ; certainement parce que je ne suis pas habitué aux enfants. Voyez-vous, je suis un célibataire endurci. — Pourtant, vous êtes bel homme… En disant cela, elle décroise ses jambes et les écarte largement. Mon regard est inexorablement attiré par les cuisses fuselées et remonte vers leur jointure. ...
... Elle ne porte aucun sous-vêtement ; le justaucorps moule admirablement une vulve aux lèvres charnues d’où suinte un liquide qui forme une tache sombre sur le tissu foncé. Elle se tait et me regarde fixement. Il me semble voir les lèvres de la citrouille esquisser un sourire… qmqkksy Incapable de résister à cet appel obscène, je me précipite vers la belle et m’agenouille devant elle pour poser mes lèvres sur le fruit juteux à peine masqué par les mailles du fin tissu déjà gorgé de suc dont ma langue se régale durant des minutes qui me semblent interminables. Ce n’est que lorsqu’elle se pose sur son clitoris rigide pour y effectuer quelques mouvements de va-et-vient que je sens ses jambes se crisper, son ventre se projeter vers ma bouche avide et que j’entends un long râle de jouissance. — Merci ; c’était vraiment délicieux… À présent, relevez-vous. Oh, mais je ne vais pas vous laisser dans cet état, mon pauvre Monsieur ! Joignant le geste à la parole, elle extirpe de mon pantalon ma verge congestionnée au bord de l’explosion, se penche et la fait pénétrer dans sa bouche. J’apprécie pendant quelques secondes les délicates caresses de sa langue. Ce n’est que lorsque je sens ses dents pointues et coupantes comme des lames de rasoir se refermer derrière la couronne de mon gland que je hurle de douleur et de terreur alors que mon sperme mêlé à mon sang se déverse à gros bouillons dans la bouche de la citrouille que je comprends que la belle ne portait pas de masque.