Une douche en amoureux
Datte: 04/09/2017,
Catégories:
fh,
ffh,
frousses,
couple,
couplus,
douche,
amour,
Oral
pénétratio,
couple+f,
Je suis un homme incroyablement amoureux. Ça paraît idiot de le dire comme ça, mais il se trouve que c’est ce qui est, et que ça fait des fois du bien de le dire. Mon amour se nomme Aurélie, et ça va faire bientôt sept ans que nous filons sur notre petit nuage éthéré en compagnie l’un de l’autre. Ma petite merveille est rousse, pas bien grande et possède de beaux yeux marrons qui savent m’apprivoiser. D’aucuns la qualifieraient d’un peu ronde. Moi je la trouve sublime, son décolleté me fait pâlir de passion, et ses fesses rebondies, juste au-dessous de ses hanches fines, me font mourir d’excitation lorsqu’elles ondulent contre moi. D’ailleurs « moi », je ne me suis pas présenté. Je m’appelle Théo, j’ai vingt-quatre ans, soit un de moins qu’Aurélie, je suis châtain-brun, les cheveux un peu courts mais pas trop, histoire de les laisser faire n’importe quoi au gré du vent et je dois faire dans les 1m75. De nature flemmard, je ne me rase pas très régulièrement et une barbe de trois, sinon quatre jours m’affuble souvent le visage. En parlant de visage, je ne suis pas très doué pour les décrire alors je vais laisser votre imagination faire le reste. Je ne suis pas un athlète mais je me conserve à peu près en forme. En recoupant mes sources, il paraît même que je suis « charmant ». L’histoire que je veux vous raconter date d’il y a quelques mois. Elle prend racine dans un jour sans Aurélie. Elle était chez ses parents pour deux, trois jours afin de fêter son vingt-cinquième ...
... anniversaire en avance avec eux, et rentrer chez nous pour faire une méga fête avec tous les potes. Je m’étais choppé une saleté de microbe entre temps et je passais mon temps sous la couette, à me cailler les miches et à attendre le retour de ma bouillotte préférée. À force de crever de froid, puis de chaud, puis de froid, puis de… etc., je m’étais retrouvé suant, fiévreux, avec une seule idée en tête. Il me fallait absolument une bonne douche brûlante. Sauf qu’en entrant dans la salle de bain et en allumant la lumière froide et violemment blanche, je me suis rendu compte qu’en plus de ça, j’avais aussi un mal de crâne épouvantable. J’éteignis aussitôt la lumière et allumai deux trois bougies qui traînaient à côté de la douche, reliquats d’une soirée épicée, en amoureux. Je passai une heure sous l’eau, à la lueur des bougies vacillantes. Dieu que ça faisait du bien ! Et à mesure que j’allais mieux, les bougies m’hypnotisaient peu à peu et ramenaient au-devant de ma mémoire les souvenirs de la soirée où elles avaient servi pour la dernière fois. Je revoyais Aurélie me pousser au fond de la douche, sous l’eau bien chaude, alors que je la voyais se déshabiller langoureusement, enlever ses sous-vêtements sans dévêtir les couches supérieures, puis venir me rejoindre, en jupe et débardeur. Elle passa d’abord la tête sous l’eau, pour mouiller ses cheveux. Sa chevelure de feu s’assombrissait toujours un peu lorsqu’elle était mouillée. Alors qu’elle se redressait et levait les yeux vers moi, ...