1. Boire un petit coup c'est agréable


    Datte: 23/06/2017, Catégories: fh, ff, fhh, 2couples, couple, couplus, nympho, fête, Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, confession, entrecoup,

    ... épousé une salope qui ne rêve que de baise. Elle rétorque : — Si le mari n’est pas capable, alors une femme se doit de…— Approche, dis-je d’un ton qui ne souffre pas la réplique. À moitié nue, à moitié habillée, elle revient vers le lit. À moitié épouse, à moitié pute. À moitié jeune mariée, à moitié salope. Je ne sais si elle parlait sérieusement, mais son idée de tradition dans la nuit de noce vient de me donner une idée. — Dans une nuit de noce, la mariée doit perdre son pucelage, aussi ! Non ? Elle sourit. — Ça va être difficile, mon chéri. Tu es bien placé pour le savoir. Il y a longtemps que j’ai connu le grand méchant loup.— C’est vrai, mais à ma connaissance tu es encore vierge du… Je ne termine pas ma phrase, mais mon regard parle pour moi. Je parle de son cul. Stéphanie m’a toujours refusé ce chemin. Elle a parfaitement compris. Je m’attends à son refus mais j’entends : — Tu as raison une femme doit tout à son époux. Et théâtrale elle ouvre les bras en disant : — Monsieur mon mari faites de moi ce que bon vous semble. Mais plus bas et avec un regard remplis de perversité : — Surtout faites-moi jouir ! Je n’hésite pas. Je la fais installer en levrette sur le lit, la tête en appui sur le drap, les reins cambrés. J’adore soulever la robe de mariée pour la chasser sur ses reins et son dos. Même le tissu apporte sa touche de perversité en glissant et cachant sa tête. C’est magnifique. J’ai tout le temps d’admirer la retroussée, ses fesses rebondies, ses cuisses ...
    ... musclées, la raie qui tire un trait dans le sens vertical. C’est un point d’exclamation dont le point est l’anus, surplombant deux parenthèses formées par les petites lèvres et le minou. Je couvre les lobes de baisers et puis mes mains en caressent les formes, découvrant comme une première fois le velouté de la peau, la tache sombre de la rondelle perdue au fond de la raie, le bombé du pubis. Je m’y aventure et y rencontre les traces de mes saillies. Mes doigts s’en imprègnent, non sans en caresser le réceptacle et déclencher une réaction de mon hypersensible jeune mariée. Ai-je hésité ? Je ne pense pas. En tout cas j’ai sous les yeux le geste le plus obscène que je connaisse. Le plus obscène mais aussi un des plus beaux gestes d’amour d’une femme à un homme. Deux mains viennent se placer de part et d’autre de la raie, écartant les lobes pour offrir à mon regard et à bien plus, le trou sombre, porte jusque-là fermée à mon désir mais que Stéphanie par ce geste m’apporte sur un plateau. Comment résister. Un doigt vient en vérifier le contour, testant la dureté du sphincter avant de pointer au centre de cet anneau que je désire depuis si longtemps. Même adulte nous avons des comportements d’enfants. Même gâté par les parents nous voulons toujours plus. Stéphanie m’avait déjà beaucoup donné et j’en avais usé avec délice, mais son cul me restait interdit. Mon doigt explorateur pénètre dans un univers mystérieux. Il entrouvre une porte et se glisse tel un serpent visqueux dans son repère. ...
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